Juan Branco fait face aux chiens

Juan Branco, né le 26 août 1989 à Estepona en Andalousie, est un avocat, universitaire, militant politique et journaliste franco-espagnol, collaborateur régulier du Monde diplomatique.

Il est l’une des figures de l’opposition à la loi « Hadopi 1 » sur les droits d’auteurs en 2009. Proche des Gilets jaunes et avocat de Maxime Nicolle, il est de plus le conseiller juridique de WikiLeaks et de Julian Assange en France et a été d’autre part l’avocat de Jean-Luc Mélenchon.

J-0. Ruptures de stock partout. Quatre tirages en une journée. Au courage de ceux qui rendent cette folie possible. A tous ceux qui le liront.

Aux révolutions qui en naîtront. pic.twitter.com/ae9FvEl1uT

— Juan Branco ✊ (@anatolium) March 21, 2019

Juan Branco ✊️ on Twitter

Crépuscule, pourtant en accès libre sur internet depuis cinq mois, est passé numéro un des ventes en France, malgré une rupture de stocks qui a commencé 48 heures après sa sortie.

Sans un média. Un seul média.

Au monde qui naît. A tout ce que cela dit. Et peut en être déduit. pic.twitter.com/aTKizpbAv2

— Juan Branco ✊ (@anatolium) March 27, 2019

J-0. RUPTURES DE STOCK PARTOUT. QUATRE TIRAGES EN UNE JOURNÉE. AU COURAGE DE CEUX QUI RENDENT CETTE FOLIE POSSIBLE. A TOUS CEUX QUI LE LIRONT. AUX RÉVOLUTIONS QUI EN NAÎTRONT.

Juan Branco ✊️ on Twitter

CRÉPUSCULE, POURTANT EN ACCÈS LIBRE SUR INTERNET DEPUIS CINQ MOIS, EST PASSÉ NUMÉRO UN DES VENTES EN FRANCE, MALGRÉ UNE RUPTURE DE STOCKS QUI A COMMENCÉ 48 HEURES APRÈS SA SORTIE. SANS UN MÉDIA. UN SEUL MÉDIA. AU MONDE QUI NAÎT. A TOUT CE QUE CELA DIT. ET PEUT EN ÊTRE DÉDUIT.

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Juan Branco

18 février, 22:09 · 

Surveillance de mon domicile, mais aussi de mon cabinet, mise sur écoute de mes communications. Obstruction systématique afin de m’empêcher de voir mon client.

Alors que je venais d’être mandaté.

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Juan Branco

18 février, 21:02 · 

J’apprends à l’instant que mon cabinet et mon domicile ont été mis sous surveillance policière physique, accompagnée d’écoutes, au moment où le parquet faisait obstruction par tous les moyens à ma désignation comme avocat de Piotr Pavlensky. Toute la confidentialité de mes communications avec mes clients, ma passation de dossier dans l’affaire Assange, toute mon intimité ont été violés par un parquet aux ordres, hystérisé et en roue libre, prêt à tout pour écraser un complot que personne ne commettait.

Pendant ce temps, Piotr Pavlensky résistait héroïquement à toutes les tentatives de pression visant à l’exploser et le faire craquer.

Je n’ai jamais, jamais eu ouï d’une violation aussi caractérisée des droits de la défense. Jamais. Ce qui s’est passé dans ce dossier est un pur scandale qui ne fait que commencer.

Qui a couvert ? Qui a ordonné?

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Juan Branco face à Apolline de Malherbe en direct

•17 févr. 2020

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Juan Branco

16 février, 23:59 · 

Incroyable. Les journalistes de l’Obs viennent d’être pris la main dans le sac en pleine tentative de déstabilisation, via la diffusion d’une fausse information de façon parfaitement consciente et assumée.

Alors qu’ils tentent de faire croire, à travers un article posté en pleine page de Une, que Piotr Pavlensky ne m’avait jamais désigné comme son avocat, le représentant du bâtonnat vient de démentir avec férocité et de dénoncer une opération visant à me destabiliser. C’est un engagement rare de la part d’un confrère, je peux vous assurer qu’il n’est pas anodin.

Ce que cette affaire révèle, une nouvelle fois, est la facilité avec laquelle de grands médias sont prêts à manipuler pour dévaster. Le pire est le suivant: la rédaction refuse de corriger son erreur malgré toutes les preuves apportées, laissant se diffuser de façon massive un contenu dont elle sait maintenant pertinemment qu’il est faux.

On parle de l’Obs, l’un des plus importants médias de l’ancien monde, qui tente cahin cahan de rester dominant. Du chef de son service enquête, Mathieu Delahousse, qui refuse d’admettre qu’il s’est trompé.

Or cela intervient dans un contexte exceptionnel que tout vise à étouffer: un individu en garde à vue s’est vu refuser pour la première fois à ma connaissance, par le parquet, le droit de choisir son avocat, sans accord du bâtonnat. Voilà l’information enterrée dans cette manipulation. Et cette première fois touche Piotr Pavlenski, déjà arrêté et mis en garde à vue pour une affaire-prétexte déterrée au moment opportun, vingt-quatre heures après avoir fait tomber l’un des piliers de la macronie.

https://www.nouvelobs.com/…/affaire-griveaux-le-role-troubl…

Alors que les éléments sont accablants pour le pouvoir mais aussi pour le média, au lieu de s’excuser, l’Obs s’accroche comme ils peut. L’article reste en Une, sans bouger, tandis que continuent de s’accumuler les éléments les accablant tout à fait.

Quelle honte. Quelle honte, de les voir ainsi se vautrer.