LR: Le site « huffingtonpost » surtout célèbre célèbre pour avoir hébergé le groupe «RBF» pour «Radio Bière Foot» un défouloir sexiste, raciste et homophobe, notamment utilisé pour insulter les collègues femmes de la rédaction pratique aussi la censure et la dissimulation en omettant dans son titre, une partie de la chanson « ô tête de con ». Claire Tervé a donc survécu aux discriminations sexistes de son environnement – passées ? – mais a conservé une pudeur de gazelle qui l’a sans doute conduite à ne pas afficher « ô tête de con ! ». Ce sont ces paillardises qui sont choquantes pour les médiacrates, pas les mutilations ni la politique d’escalade du désordre et des violences qui a été menée massivement et qui a pourtant consterné les médias du monde entier. La grande presse, à propos des gilets jaunes aura été de bout en bout, juste abjecte, elle a ainsi perdu le bribe de reconnaissance qu’elle avait préservé. Maintenant la campagne de dénonciaition du curé en question: http://www.lavie.fr/religion/catholicisme/l-abbe-michel-et-la-tradition-maurrassienne-11-01-2010-1788_16.php
Ce curé défroqué pro gilets jaunes insulte Macron en pleine messe
« Emmanuel Macron, on vient te chercher chez toi… », scande le prêtre Francis Michel dans une église en Normandie. Il a pourtant été relevé de ses fonctions en 2016.
🇨🇵 [FLASH] – Dans le #Calvados un Prêtre a décidé de chanter chaque dimanche, à la messe : "Emmanuel #Macron oh tête de con […]". #GiletsJaunes #ActeXXIX
Comme le montre cette vidéo de la messe de ce matin : pic.twitter.com/qQwP8s1NfM
— La Plume Libre (@LPLdirect) June 2, 2019
GILETS JAUNES – On est loin des chants religieux prônant l’amour et la tolérance. Un prêtre de l’Eure fait parler de lui depuis dimanche 2 juin, lendemain de l’acte 29 des gilets jaunes. Une vidéo circule en effet dans laquelle on peut voir le curé Francis Michel chanter en plein office dans une église face à un groupe de gilets jaunes. La chanson n’est ni un “Gloria”, ni un “Avec toi Seigneur”, mais plutôt un “Contre toi Macron”.
“Emmanuel Macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi…”, scande le prêtre en costume ecclésiastique repris en cœur par ses fidèles en jaune. La scène se passe dans l’église du Planquay, commune de l’Eure.
Un comportement d’autant plus scandaleux selon lui que le prêtre Francis Michel a été démis de ses fonctions (par l’évêque en question) en 2016 pour “ne pas avoir respecté les règles constitutives de [son] rectorat” et “avoir poursuivi ses activités de recteur sans la permission de l’évêché”, relate le média. D’autant qu’en 2015, l’abbé a été condamné en première instance par le tribunal correctionnel d’Evreux à une amende de 15.000 euros pour “abus de confiance”. On lui reprochait d’avoir détourné 100.000 euros de dons de fidèles. Des faits qu’il a toujours nié.
Alors comment se fait-il qu’il puisse officier comme on le voit dans la vidéo? “Je l’ai suspendu, répond l’évêque. Francis Michel n’a plus aucune responsabilité ni pouvoir dans l’Eglise catholique. Mais nous n’avons ni pouvoir de police ni de gendarmerie. J’ai écrit au maire du Planquay pour indiquer qu’il n’avait plus rien à faire dans cette paroisse, mais on ne m’a jamais répondu.”
Attachement aux gilets jaunes… et à Charles Maurras
LCI a pu joindre le curé défroqué qui explique la scène filmée: “Nous avons fait une photo générale devant l’autel, ce qui ne me semble pas déplacé. Ce qui est regrettable, c’est que les chants entonnés n’aient pas été tenus à l’extérieur. Mais je n’ai pas vraiment été maître de la situation. Il ne s’agit pas d’un rassemblement de gilets jaunes, mais plutôt de gens venus à la messe pour me remercier, car je m’implique depuis longtemps sur les ronds-points.”
Et pas que sur les rond-points puisqu’il a fait porter l’un des fameux gilets au Petit Jésus en décembre 2018.
Le 21 janvier 2001, dans son église de Thiberville (Eure), il déclarait d’ailleurs pendant son sermon à propos de la mort de Louis XVI: “En coupant la tête du Roi, on est passé du Roi très chrétien à la laïcité républicaine amenant aujourd’hui la société sécularisée… C’est pourquoi je professe du haut de cette chaire, mon attachement à la Cause Royale, avec un Roi catholique recevant l’onction à Reims”.
Dans une vidéo devenue virale sur Twitter le 2 juin, on voit un prêtre entonner un chant brocardant le président de la République, bien connu des Gilets jaunes. Entouré de manifestants, l’homme d’église reprend en chœur : «Emmanuel Macron, on vient te chercher chez toi, Emmanuel Macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi…»
Joint par la chaîne, l’ecclésiastique confirme qu’il a été suspendu, mais se prétend cependant «prêtre pour toujours». Il a aussi précisé : «Il ne s’agit pas d’un rassemblement de Gilets jaunes, mais plutôt de gens venus à la messe pour me remercier, car je m’implique depuis longtemps sur les ronds-points.» Et de déplorer : «Ce qui est regrettable, c’est que les chants entonnés n’aient pas été tenus à l’extérieur. Mais je n’ai pas vraiment été maître de la situation.»
Selon France Bleu Normandie, le préfet de l’Eure, Thierry Coudert, a saisi le parquet pour deux motifs, outrage envers le chef de l’État et violation de la loi de 1905. «La loi prévoit que les communes mettent en affectation les églises auprès d’un prêtre et celui-ci ne doit y remplir que des missions cultuelles», explique-t-il. Or, fait-il valoir,« il est clair que la manifestation de dimanche dans l’église du Planquay n’était pas une messe».
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