Quatre ont été entendus mercredi et le dernier samedi après-midi. « Les gendarmes souhaitent savoir qui a organisé l’événement. Nous avons tous répondu que les responsables étaient pour nous l’Agence régionale de santé, la direction du Chicas de Gap/Sisteron et les représentants de l’État. Ce sont eux qui nous ont affirmé il y a près d’un an que cette fermeture était provisoire et que tous cherchaient à pourvoir au remplacement d’un urgentiste absent. On voit bien, après tout ce temps, que c’était des mensonges. »
Les cinq personnes feront partie de la délégation qui sera reçue en préfecture, mardi à 14 h 30, à l’initiative d’un collectif de citoyens, présent depuis 10 mois aux urgences de Sisteron et pour la défense des services publics), de la CGT et de la FSU. Ces organisations souhaitent également aborder avec le préfet le thème « démocratie et interdiction de manifester dans la période d’urgence sanitaire ».
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