Montpellier, soutien au Dr Agret, mercredi 6 octobre
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Denis Agret, médecin antivax de Montpellier, dévoile sa lettre de démission : « Je m’en lave les mains »
Dans un courrier adressé à de nombreuses personnalités, dont le directeur de l’ARS Occitanie, le président de la République ou encore le ministre de la Santé, Denis Agret, le médecin de Montpellier qui affiche publiquement son opposition à la politique vaccinale du gouvernement, annonce sa démission.
« Ce ne sont pas les variants qui sont dangereux, mais les vaccins, leurs conséquences gravissimes ». Le ton est donné. Dans la lettre qu’il publie sur Twitter ce dimanche 26 septembre, Denis Agret, le médecin montpelliérain qui affiche son opposition à la vaccination et dénonce une médecine dirigée par la politique dans le contexte de la crise du Covid-19, démissionne.
Démission publiée dans un courrier
Une longue lettre, qui s’achève ainsi : « Je rends ma blouse et je m’en lave les mains ». Dans ce long courrier, le médecin montpelliérain annonce sa démission de toutes ses fonctions médicales, de l’ordre des médecins à sa blouse de praticien. Il détaille sur quatre pages l’objet du désaccord qu’il a manifesté à de nombreuses reprises, y compris lors de son action devant l’ARS le lundi 20 septembre dernier.
« Compte tenu du contexte politique qui dirige l’action de la santé depuis plus de 18 mois, empêche la liberté de prescrire des médecins, met en cause la liberté de ne pas être vacciné et d’exercer simplement une médecine qui consiste à responsabiliser les patients et promouvoir la vraie prévention, la vraie santé publique, qui empêche la liberté d’expression, je vous présente de manière solennelle et publique ma démission », écrit le médecin énumérant ensuite les fonctions qu’il quitte.
Dans le collimateur de la justice
Une lettre qu’il termine par sa signature, à laquelle il appose « être souverain et intègre ». Denis Agret est par ailleurs dans le collimateur de la justice puisqu’il est déjà cité à comparaître le 6 octobre prochain devant le tribunal correctionnel de Montpellier pour « mise en danger de la vie d’autrui et atteinte à la vie privée ».
Il devra ce jour-là s’expliquer sur son comportement le 19 janvier dernier où, alors qu’il se trouvait dans une école montpelliéraine, il avait demandé aux élèves d’enlever leur masque et avait fait une photo, posée sans aucune autorisation parentale sur les réseaux sociaux, où il est très actif.
Visé par une plainte de l’Ordre des médecins de l’Hérault, une plainte de l’ordre national des médecins et celle d’une infirmière, Denis Agret avait repris un poste dans l’arrière-pays varois. Poste auquel il a finalement fait faux bond jeudi, au lendemain de sa présentation aux habitants, sans même prévenir le maire, selon Var-Matin.
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