LES MÉDIAS TOXIQUES NOUS IMPOSENT LEURS MONSTRES
– Déjouer le scénario mortifère imposé –
D’un côté, le candidat banquier. Il a été fabriqué de toutes pièces par les médias des milliardaires. Spéculateur sans morale jeté au pouvoir par le chantage au « barrage à l’extrême droite ». Il aura imposé méthodiquement un programme d’extrême droite : raciste, autoritaire, ultralibéral.
De l’autre, la créature pétainiste. Fabriquée de toutes pièces par les médias des milliardaires. Il a le même programme que le premier, mais encore plus raciste, encore plus autoritaire, encore plus ultralibéral. Et avec une coloration ouvertement fasciste. Derrière lui : des financiers d’extrême droite, des préfets, des énarques, des patrons de médias. Une flaque de boue dont le seul projet est de nous renvoyer directement dans les années 1930. Il n’existe que grâce aux médias, il est leur créature intégrale.
Après avoir créé ces deux monstres, les médias des milliardaires font tout pour les faire monter. A coups de sondages truqués, quotidiens, répétés, ils mettent en scène un duo mortifère dont personne ne veut. Et pourraient finir, à force de bourrage de crane, réussir à imposer leur scénario. Face à ce cauchemar organisé de bout en bout par la petite caste toxique qui possède les médias, trois pistes urgentes :
Désintoxiquer partout où c’est possible. Développer et soutenir matériellement les médias indépendants. Coller, taguer, peindre, faire vivre les contre-discours partout où c’est possible.
Attaquer les médias. Il en va de notre survie à toutes et tous. Les grandes chaînes de télévision et de radio sont devenues des poisons mortels qui nous précipitent vers le fascisme. Les boycotter, les virer, se préparer à occuper leurs locaux.
Développer l’agitation sociale, seule à même de faire taire le discours toxique ambiant. En période de mouvements sociaux – Gilets Jaunes, retraites, Loi Travail – les immondes marchands de haine ne sont plus audibles, ils sont renvoyés, temporairement, dans leur poubelle. Un soulèvement est vital pour notre avenir commun, et il permet aussi de fermer la gueule putréfiée des monstres médiatique.
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