Retournement : le narratif vaccinal a du plomb dans l’aile

Scènes d’émeutes populaires massives lors de la manifestation anti-restrictions sanitaires le 23 janvier à Bruxelles.

Il se pourrait bien que nous soyons arrivé à un moment de grande bascule dans la crise politico-sanitaire qui nous empoisonne la vie depuis 2 ans. En clair, le narratif vaccinal officiel prend de moins en moins sur l’opinion et semble avoir atteint son point limite d’avant régression.

Un narratif officiel submergé par le flot d’informations venues du terrain

Plusieurs signes pour valider ce constat :

  • En janvier 2022, les menaces de désactivation automatique du pass sanitaire pour ceux n’ayant pas sacrifié à la 3ème dose de rappel n’ont eu qu’un effet très limité : selon le ministre Véran, 800.000 personnes étaient concernées ; à la veille du 15 janvier fatidique, entre 500 et 700.000 réfractaires manquaient à l’appel (délai qui rendait d’ailleurs impossible un revirement de dernière minute).
  • Dans les pays qui ont eu le bon goût de ne pas se donner des gouvernants aussi cons que les nôtres, la pression oppressive se détend. Plusieurs d’entre eux eux ont déjà abandonné le pass vaccinal, reléguant le covid au rang de simple grippe (l’Espagne) ou sont en cours de le faire (la Bosnie, la Grande-Bretagne, l’Irlande, la Tchéquie). Les Suisses viennent d’annoncer leur intention de procéder de même dans un proche avenir.

Il faut dire qu’il était difficile de maintenir ce narratif anxiogène face à l’échec patent des ”vaccins” à enrayer le virus, sa transmission et même “les formes graves de la maladie” comme ils disent. Pire, difficile de dissimuler les graves effets négatifs secondaires de ces vaccins (myocardites et crises cardiaques, par exemple) qui ont été jusqu’à mettre en péril des tranches d’âge jusque-là totalement épargnées par le virus (les jeunes, les sportifs).

En bref, les médias mainstream, arcboutés dans la défense de leur citadelle assiégée, sont incapables d’enrayer le flot des informations venues du terrain. Et Le Great Reset, ce plan tordu ourdi par un tordu (Klaus Schwab) pour tenter de sauver le système moribond est en passe de mordre la poussière.

Des manifestations de grande envergure entre soutien populaire inédit et émeutes massives

On ne saurait terminer ce tour d’horizon en forme de bilan sans évoquer l’importance de manifestions d’ampleur grandissante, comme celles qui eurent encore lieu ce dimanche 23 janvier aux quatre coins de la planète (BruxellesMontreal, Toronto, VancouverMartiniqueGlasgowBilbaoLondresHelsinkiMontpellier, ToulonParisStockholm…)

Ces manifestations se partagèrent entre un mouvement de solidarité populaire inédite, comme au Canada (malgré des records historiques de froid hivernal) :

Et des débordements massifs de violences populaires, comme ici à Bruxelles :

Une fois de plus c’est la violence populaire qui précipitera le retournement de situation

Un dernier mot sur le problème de la violence : le discours lénifiant sur ces groupes violents soit-disant manipulés, orchestrés, sinon même issus des rangs policiers pour provoquer, a fait long feu. Les émeutiers de Bruxelles étaient trop nombreux, leurs cibles trop précisément déterminées (les institutions de l’UE), leur rage contre leurs prétendus « collègues » en uniforme trop manifeste pour qu’on puisse parler d’une simple sauterie provocative.

Une fois de plus, comme toujours dans l’histoire, ce sont des mouvements de violence populaire qui précipiteront le retournement de situation annoncé en début de ce billet. Et qui le précipiteront d’autant plus rapidement que le soutien de l’opinion publique leur restera désormais acquis malgré les tentatives de diabolisation pathétiques de la presse de propagande.

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