Les financiers qui manipulent les sondages votent MACRON

Article d’avril 2017 qui n’a pas pris une ride ….

LR: Quand des partisans de Fillon se lamentent que le système médiatico-politique, soutiennent un autre poulain que leur champion, on pleure avec eux devant ce déni de « démocratie »…

A environ deux semaines du premier tour, on assiste à une campagne médiatique bien orchestrée, qui vise à tenter de manipuler l’opinion par un usage de sondages qui reflètent des pourcentages désirés par les bailleurs de fonds et non pas ceux qui devraient être affichés. C’est bien de trucages dont il s’agit.

Pour que ces traficoteurs ne roulent pas les Français dans la farine, il est utile de faire savoir ce qu’il y a derrière ces sondages qui donnent allègrement depuis des jours un duel Macron/Le Pen pour le second tour.

Ainsi, le sondage (BVA) au 3 avril donne 25% pour EM, 24% pour MLP et 19% pour FF

Pour savoir décoder les « informations » dont on vous rebat les oreilles, je vous suggère, aidé par un autre internaute, de toujours vous poser la question : qui est le payeur ?

Christian ROGER

Qui paie les sondages ?

Le point de départ d’une tentative de manipulation de l’opinion remonte à Janvier 2016. Le Monde titrait : « Sondage : Emmanuel Macron préféré à Manuel Valls ou François Hollande pour 2017 » et en sous-titre : « Un sondage Odoxa pour Le Parisien/Aujourd’hui en France estime que le ministre de l’économie pourrait devancer le premier ministre et même le président».

Il est placé d’entrée de jeu à 22% et le produit Macron est ainsi lancé, comme une savonnette dont on veut faire la campagne publicitaire.

Qui est Odoxa ?

Les deux fondateurs d’Odoxa sont des anciens de l’institut de sondage BVA, dont Vincent Bolloré et le fonds d’investissement Rothschild sont actionnaires.

Le principal actionnaire actuel d’Odoxa est Bernard Arnault, patron de LVMH et propriétaire de Le Parisien-Aujourd’hui en France.

Nicolas Bazire est l’un des administrateurs de LVMH et il cumule en étant administrateur de l’institut de sondage IPSOS. Mais le plus intéressant ici, c’est qu’il est gérant associé de la Banque Rothschild…tout comme Macron avec qui il a travaillé, et dont le conseiller en communication est Denis Delmas, ancien président de TNS Sofres.

Premier constat : les organismes de sondage Odoxa + BVA + IPSOS + TNS Sofres (sont dans les mains des financiers : Fonds d’investissements Rothschild + Bolloré + Arnault de LVMH. Ainsi, 80% des instituts de sondage appartiennent à la sphère d’influence qui soutient Macron.

Chez LVMH, l’une des directrices est Gabrielle Guallar, «Madame» Benoit Hamon (ils sont pacsés). Cette collusion entre la gauche dure et des milliardaires n’a rien de surprenant, ces derniers ne sont «ni de gauche, ni de droite», comme Macron, leur poulain qu’ils dopent à coups de millions d’euros pour qu’il puisse gagner la présidence qu’il mènera selon leurs instructions.

On comprend ainsi pourquoi Macron refuse de donner le nom des donateurs à son mouvement En Marche !

Ces milliardaires sont sociaux-libéraux mondialistes, le mot « sociaux » n’étant là que pour rassurer la gauche, tout comme Hitler avait accolé « socialisme » à national dans national- socialisme.

La cote moyenne de Macron était de 17% dans les sondages tout au long de l’année 2016.

On l’a fait bondir de 7 points en janvier 2017, à 24 % pour arriver à 26 % des intentions de vote en mars, le plaçant en tête de tous les sondages.

On sait que les élections se jouent dans les trois mois qui les précédent et on comprend très bien la nécessité de ces scores pour orienter l’opinion.

Pour que Macron gagne, il faut qu’il affronte Marine Le Pen, un Macron contre Fillon donne Fillon gagnant. Les sponsors et propriétaires de Macron doivent maintenir MLP à un haut niveau dans les sondages, tout en préparant les conditions de son échec entre le premier et le second tour.

Marine Le Pen, challenger indispensable à la réussite de cette manipulation de l’opinion publique est créditée de 25 % des intentions de vote. Normal !

Dans le même temps, Elabe, un «petit» sondeur, donne Fillon à 17 % et insiste lourdement sur l’affirmation que «en dessous de 20 % un candidat n’a que peu de chance d’arriver au second tour ». Ben tiens !

Qui est Elabe ?

Elabe est l’institut de sondage qui a opportunément sorti un sondage qui montrait Macron gagnant du débat TV du 20 mars où il avait été falot face à Fillon, Mélenchon ou Le Pen. Elabe a été créé en avril 2015 par CSA dont il est une filiale.

CSA, dont Vincent Bolloré est l’unique actionnaire depuis 2008 !

Elabe et CSA, comme BVA, c’est donc Vincent Bolloré, président de Vivendi et Canal +, soit 8 milliards d’euros.

CSA s’est fait connaître par Roland Cayrol, pendant longtemps omniprésent à C dans l’Air, comme Christophe Barbier de L’Express. Roland Cayrol s’est discrédité avec sa hollandophilie affichée. Aujourd’hui, c’est donc Bernard Sananès, ancien de CSA, qui vient à C dans l’Air commenter l’actualité au nom d’Elabe, qu’il dirige, donc de CSA et Bolloré, soutiens de Macron.

Deuxième constat : Elabe et CSA sont des filiales à 100 % du groupe du milliardaire Vincent Bolloré, qui continue à soutenir Elabe. C’est son investissement pour continuer à contrôler la politique française avec Macron à la présidence.

La presse doit absolument relayer les sondages pour peser sur l’opinion

Nos milliardaires et banquiers savent que l’efficacité des sondages à exprimer « l’opinion publique » qu’on souhaite voir fleurir sur les médias implique l’adhésion de journalistes et spécialistes en communication.

Ainsi, s’est mise en place chez eux la croyance selon laquelle « faire de la politique » c’est, notamment grâce à une bonne communication, se situer le plus haut possible dans les côtes de popularités données par les sondages ».

Il faut afficher un bon mouvement d’opinion autour de Macron et la presse financée par le gouvernement et les milliardaires de gauche vont s’en charger !

Dès janvier 2016, après le coup de démarreur donné par le sondage commandé par Bernard Arnault à Odoxa et le coup de starter de Le Monde encensant Macron, 90 % de la presse est mise en action pour le soutenir.

90 %, c’est le pourcentage de médias détenus par le gang des milliardaires sociaux- libéraux mondialistes français.

Le service public, notamment la télévision, est lui aux mains de l’État socialiste qui a mis à sa tête Delphine Ernotte, une socialiste fidèle de Hollande, avec la même mission : détruire Fillon pour permettre le duel Le Pen contre Macron qui permettra à Macron, chevalier du Bien socialo-mondialiste et immigrationniste de battre le Mal incarné par Le Pen, patriote nationaliste anti-immigrationniste.

Pour la mise en place des hommes pour ces actions, voici un extrait de l’émission de TV

Arrêt sur image » de Daniel Schneidermann :

«S’agissant de Macron, Niel et Bergé, copropriétaires du groupe le Monde, lui ont plus ou moins publiquement déclaré leur flamme. Rien, dans ce que l’on sait de lui, et du peu que l’on sait de son programme, n’est de nature à effaroucher M.M. Dassault, Arnault, Pinault, Lagardère, Bolloré ou Drahi.

Ce qui ne signifie pas que les oligarques français soient pendus au téléphone chaque matin pour commanditer des unes, des éditos, ou des sondages favorables. Simplement, par capillarité intellectuelle, ils ont nommé à la tête des rédactions de «leurs» médias des journalistes macrono-compatibles, éventuellement macrono-indifférents, en tout cas jamais macrono- opposés, encore moins macrono-hostiles»

Ce qui explique les plus de 50 « Unes» de la presse qui vantent le produit Macron depuis un an et les multiples sondages truqués qui le valorisent.

Les « intellectuels » qui portent le produit Macron ?

Ce sont les « Gracques » : un groupe d’hommes d’affaires, de hauts fonctionnaires et d’intellectuels qui s’active depuis 2007 dans les coulisses du pouvoir pour convertir la gauche française au libéralisme.

Pour la plupart, ils occupent des postes hauts placés, souvent dans des banques, des compagnies d’assurances, des fonds d’investissement. Tous ont fait au moins l’ENA ou HEC. Anciens du PS pour beaucoup d’entre eux, ils ont peuplé les cabinets ministériels des années 1980 et 1990, servant les socialistes « modernes », Rocard surtout mais aussi Jospin, Fabius, Bérégovoy ou Strauss-Kahn.

La plupart, mêlant intelligemment politique et affaires, sont très riches. Après l’éclipse Sarkozy dont ils ont profité pour se concentrer sur les affaires, ils ont été revivifiés par Hollande mais, surtout, par Jean-Pierre Jouyet son secrétaire de l’Élysée.

Aujourd’hui, ils soutiennent le télévangéliste Macron à qui ils ont fourni clés en mains le volet économique de son programme, exactement comme le club élitiste allemand « La Société de Thulé » avait fourni au jeune Hitler, inculte et incompétent, son programme socio-économique (cf. La jeunesse d’Adolf, genèse du nazisme, Maurice D. 2002)

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Voilà. Je sais que tout cela n’est pas très reluisant. Mais vous avez un moyen de claquer le museau de ceux qui veulent vous abuser: VOTRE BULLETIN DE VOTE !

C’est tout pour aujourd’hui !

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