Résultats de l’élection présidentielle 2022 – France
Dernière mise à jour à 23:37 UTC+2
Résultats de l’élection présidentielle
Source : France 2 via dpa-infocom
· 1er tour · Projections
Plus de 50 % des suffrages exprimés sont nécessaires pour remporter l’élection
| Candidats | % des votes | Nb de votes |
|---|---|---|
 Emmanuel Macron
LREM
|
27,6 % | – |
 Marine Le Pen
RN
|
23 % | – |
 Jean-Luc Mélenchon
LFI
|
22,2 % | – |
 Éric Zemmour
Reconquête
|
7,2 % | – |
 Valérie Pécresse
LR
|
4,8 % | – |
 Yannick Jadot
EELV
|
4,7 % | – |
 Jean Lassalle
Résistons
|
3,1 % | – |
 Fabien Roussel
PCF
|
2,3 % | – |
 Nicolas Dupont-Aignan
DLF
|
2,1 % | – |
 Anne Hidalgo
PS
|
1,7 % | – |
 Philippe Poutou
NPA
|
0,7 % | – |
 Nathalie Arthaud
LO
|
0,6 % | – |
L’électeur inconnu a une vision du monde simpliste tout en surestimant ses capacités. Il raisonne à courte vue et à l’emporte-pièce. Il se croit sujet autonome, se déterminant selon l’ « utilité espérée » de ses choix. Il est égoïste, rationnel et constant. Les croyances politiques ne sont pas déterminées par des arguments, mais par l’émotion.
Mais que faire entre deux pestes aussi liberticides l’une que l’autre ? Macron ou Le Pen ?
Avec la proposition de loi « Sécurité globale », les caciques du Rassemblement National ont dévoilé leur nudité frontiste. En votant en faveur du texte liberticide d’Emmanuel Macron, Marine Le Pen a précisé que la loi était insuffisante. Pour Jordan Bardella, député européen, elle était « dérisoire » ; pour Sébastien Chenu, député, c’était une « toute petite loi ». En soutenant l’appel à un putsch fasciste « Pour un retour à l’honneur de nos gouvernants », signé par des militaires psychologiquement désorientés, ce parti völkisch a confirmé ainsi que le chien retournait toujours à son dégueulis . Leur ligne patriotique est celle du « pur porc de souche » pour qui une ligne de vertu ne fonctionne qu’au son du tambour… et du pipeau d’un roman national unifiant dans une histoire hallucinée les lambeaux épars d’une nation chimérique !
C’est un mensonge institutionnel de laisser croire que le BIEN COMMUN va sortir d’une urne.