Avant même que soient sèches les signatures de LFI et de EELV , la bagarre se déclenche. Sans attendre l’arrivée des deux autres partenaires de cette nouvelle union de la gauche light, le PC et le PS, les notables régionaux qui s’estiment lésés ruent dans les brancards et se positionnent. Cette cacophonie régionale était prévisible. Mélenchon n’a aucun moyen d’imposer son label à des notables qui s’estiment, à tort ou à raison, en bonne position locale. De toute évidence, les programmes électoraux ont peu d’importance, et surtout beaucoup moins d’importance que la répartition des circonscriptions. On ignore encore comment se déroulent les tractations avec le PS. Mais on peut supposer que ce ne sont pas les amendements sur la loi El Khomri (plus question de l’annuler) ou la retraite à 60 ans après 40 annuités qui font obstacle, mais bien le nombre d’élus potentiels.
Question : y-a-t-il dans la salle des camarades qui croient qu’un « pole social et radical de lutte » est en train de voir le jour ?
LETELEGRAMME.FR
Rennes – Législatives à Rennes : déçus par les conséquences locales de l’accord avec LFI, les écolos pas prêts à « lâcher le morceau »
Les conséquences de l’accord entre la France insoumise et EELV pour
Poster un Commentaire