Racisme et violences policières : l’information verrouillée (22/09)

Acrimed <mensuel@acrimed.org>
22 sept. 2023
Chères lectrices, chers lecteurs,

Vous trouverez ci-dessous un bref récapitulatif des dernières publications sur le site d’Acrimed. Et comme toujours : en accès libre et gratuit. N’hésitez pas à partager ce courriel.

Bonne lecture !


Racisme et violences policières : l’information verrouillée (22/09)

Un tract d’Acrimed pour les marches « contre les violences policières, contre le racisme systémique et pour les libertés publiques » (23 septembre).

Violences policières : des marches sous surveillance (et discrédit) médiatique (21/09)

Samedi 23 septembre, 157 organisations appellent à des marches « contre les violences policières, contre le racisme systémique et pour les libertés publiques ». Une initiative qui n’entre pas dans le périmètre des actions « acceptables » aux yeux des gardiens de l’ordre : dans les matinales notamment, les intervieweurs se penchent sur l’opportunité d’interdire la manifestation – faisant d’une revendication du syndicat de police Alliance leur propre problématique éditoriale –, ou polémiquent sur un slogan. Ce qu’on appelle un pouvoir de cadrage… et de stigmatisation.

Guerre en Ukraine : un missile et deux journalismes (20/09)

Le 6 septembre, un missile est tombé en plein cœur de la ville de Kostiantynivka (Ukraine) sur la place du marché, faisant 17 morts et plus de 30 blessés. Les médias sont unanimes : le missile vient des Russes. Mais 12 jours plus tard, après une enquête approfondie, le New York Times remet en question cette version. Une illustration de ce que peut faire le journalisme : le pire comme le meilleur.

Arrestation d’Ariane Lavrilleux : une grave atteinte aux sources journalistiques (20/09)

Un communiqué du SNJ-CGT.

Désignation de la direction de la rédaction : une question politique (19/09)

Il aura fallu la longue grève des journalistes du Journal du dimanche pour que la classe politique semble soudainement prendre conscience des droits, ou plutôt de l’absence de droits de ces journalistes, et en particulier celui de dire leur mot sur le choix du directeur ou de la directrice de la rédaction. Pas moins de quatre propositions de loi – dont nous avons précédemment exposé les grandes lignes – ont depuis jailli sur les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat.

 

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