La liberté d’expression n’est pas négociable et ne doit pas être condamnée !

🔴 LA LIBERTÉ D’EXPRESSION N’EST PAS NÉGOCIABLE ET NE DOIT PAS ETRE CONDAMNÉE ! 😡🪧

Soutenez la liberté d’expression et l’abandon des poursuites contre Info’Com-CGT

 Le gouvernement Macron intente un procès contre Info’Com-CGT pour une affiche pourtant démocratique et contre deux militants après une initiative syndicale.

Signez la pétition pour défendre la liberté d’expression et demander l’abandon des poursuites en cours contre les syndicats ou les militants syndicaux. Le 12 janvier, retrouvons-nous nombreux au Tribunal judiciaire de Paris, jour du procès. 

Défendons la liberté d’expression !

Nous demandons l’abandon des poursuites contre Info’Com-CGT et le rétablissement des libertés syndicales et démocratiques.

Info’Com-CGT et deux de ses adhérents sont poursuivis et convoqués au tribunal, le 12 janvier 2024 à Paris, pour avoir réalisé une affiche brocardant le président de la République, puis circulé en camion arborant des slogans contre la réforme des retraites aux abords de l’Élysée. Depuis le début 2023, de multiples décisions politiques ou administratives sont venues s’en prendre aux libertés syndicales et démocratiques en France.
Qu’il s’agisse de tentatives d’interdire des mobilisations, d’arrestations arbitraires, de chasse aux objets symboliques comme les casseroles, de charges policières touchant indistinctement auteurs présumés de dégradations et manifestants non violents, ou de la criminalisation de l’activité syndicale par des consignes aux procureurs, tout est mis en œuvre pour que les citoyens, méfiants devant les conséquences d’une participation au mouvement social, renoncent à manifester.
Ces pratiques, qui s’en prennent aux fondements de notre démocratie sociale, ont été dénoncées, tant par la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), que par le Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies.
Nous appelons le président de la République et le gouvernement à mettre fin sans délai à ces mesures répressives, à abandonner l’ensemble des poursuites relatives à des faits commis dans le cadre de l’activité syndicale et à rétablir l’intégralité des libertés démocratiques en France.
Ce champ est nécessaire.

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*