Au milieu des émeutes, des informations ont fait état d’une personne qui aurait été blessée par des policiers en uniforme. Les autorités ont démenti l’information.
Les émeutes se sont terminées par 6 descentes menées par les autorités à San Andresito de San José, contre la contrefaçon et la contrebande de marques, au cours de la journée du lundi 19 février 2024. Au cours de ces procédures, il a été possible de procéder à la saisie d’au au moins 500 paires de chaussures entrées dans le pays en contrebande.
Les perquisitions ont été menées en compagnie et en collaboration du Bureau du Procureur général, sur divers ordres du Sijín de la police métropolitaine de Bogotá. Alors que la procédure devait avoir lieu dans la matinée et ne durerait qu’une heure, elle a été prolongée de plusieurs heures après que plusieurs commerçants ont exprimé leur mécontentement.
Plusieurs commerçants informels du secteur bloquaient les routes, l’UNDMO a donc dû être présent pour dissiper la foule. Face à cette situation, les esprits se sont enflammés et des affrontements et des émeutes ont commencé à éclater. Au milieu des émeutes, des informations ont fait état d’une personne qui aurait été blessée par des policiers en uniforme.
Cependant, les autorités ont démenti cette version et ont annoncé qu’il s’agissait d’une personne qui avait déjà été blessée par arme à feu lors d’incidents isolés. De plus, l’homme blessé avait un casier judiciaire pour vol aggravé.
Il est important de mentionner que ce type d’opérations continuera à être réalisé dans différents quartiers de la ville. Ce que recherchent les autorités, aux niveaux national et local, c’est de réduire la contrebande et la falsification des marques ; certains des crimes qui se produisent le plus dans ces quartiers de la capitale. Tous les détails et informations détaillées dans la note présentée ci-dessous.
Julián Sánchez Cardona | VilleTv
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