Plus de 60 ans après le massacre du 17 octobre 1961, l’Assemblée nationale “condamne la répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l’autorité du préfet de police Maurice Papon.” La résolution adoptée par les député·es réclame une journée de commémoration officielle. Retour sur un long silence :
Violence, torture, mort par noyade : le 17 octobre 1961, plus d’une centaine d’Algérien·ne·s ont fait face aux forces de l’ordre à Paris. Un drame pour lequel l’État français n’a pas officiellement reconnu sa responsabilité.
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