Nelpal
Simple avis
L’on ne peut demander le respect du peuple, donc de la démocratie parlementaire, telle que définie dans la Constitution de 1958, sans pour cela s’inquiéter de ce programme de gauche, bâti à la hâte, après la dissolution voulue par Emmanuel MACRON.
L’UNION est un COMBAT.
Maintes fois, cette phrase fût prononcée par les élites » de gauche « . Pour quelles finalités, aujourd’hui, face à cette déliquescence qu’elles nous présentent ? Comment analyser cette décomposition absolue de la notion de souveraineté populaire, pour s’avancer implacablement vers un souverainiste européen, brisant à tout jamais, l’histoire des particularismes de chacun et leur volonté de transformations ?
Le fascisme de LEPEN se retrouverait, selon certaines analyses sociologiques, dans une trajectoire où, le bon peuple, selon la place occupée dans les territoires, rentrerait parfaitement dans une trajectoire » démocratique » répondant à la politique inflationniste macroniste. En cela, peut-on harmoniser dans l’architecture républicaine, le, en même temps, macroniste, en votant pour tel ou telle, peu importe le parti, à l’exception du RN, et, ensuite, se faire insulter, mépriser, par les mêmes qui ont été élus avec des voix de gauche, notamment avec le NPG/LFI ?
Peut-on, désormais, souscrire à cette « discipline républicaine » qui n’eût de cesse de les présenter comme des antisémites, des alliés des terroristes, j’en passe et des meilleurs ? Comment arbitrer aujourd’hui, cette perversion du pollitique ou le fascisme des esprits s’implique, au coeur même de la pensée macroniste, dont une grande partie de ses parlementaires sont issus du Parti socialiste, du LR et du centre droit ?
Quel visage prendra le prochain « renversement du système démocratique et libéral » ?
L’économie capitaliste mondialisée a tout digéré, le politique comme la sphère culturelle ou toute autre activité humaine non productive de richesses. La liberté sans la démocratie prépare-t-elle une démocratie sans libertés ?
Bien à vous
Nelly
Simple avis
L’on ne peut demander le respect du peuple, donc de la démocratie parlementaire, telle que définie dans la Constitution de 1958, sans pour cela s’inquiéter de ce programme de gauche, bâti à la hâte, après la dissolution voulue par Emmanuel MACRON.
L’UNION est un COMBAT.
Maintes fois, cette phrase fût prononcée par les élites » de gauche « . Pour quelles finalités, aujourd’hui, face à cette déliquescence qu’elles nous présentent ? Comment analyser cette décomposition absolue de la notion de souveraineté populaire, pour s’avancer implacablement vers un souverainiste européen, brisant à tout jamais, l’histoire des particularismes de chacun et leur volonté de transformations ?
Le fascisme de LEPEN se retrouverait, selon certaines analyses sociologiques, dans une trajectoire où, le bon peuple, selon la place occupée dans les territoires, rentrerait parfaitement dans une trajectoire » démocratique » répondant à la politique inflationniste macroniste. En cela, peut-on harmoniser dans l’architecture républicaine, le, en même temps, macroniste, en votant pour tel ou telle, peu importe le parti, à l’exception du RN, et, ensuite, se faire insulter, mépriser, par les mêmes qui ont été élus avec des voix de gauche, notamment avec le NPG/LFI ?
Peut-on, désormais, souscrire à cette « discipline républicaine » qui n’eût de cesse de les présenter comme des antisémites, des alliés des terroristes, j’en passe et des meilleurs ? Comment arbitrer aujourd’hui, cette perversion du pollitique ou le fascisme des esprits s’implique, au coeur même de la pensée macroniste, dont une grande partie de ses parlementaires sont issus du Parti socialiste, du LR et du centre droit ?
Quel visage prendra le prochain « renversement du système démocratique et libéral » ?
L’économie capitaliste mondialisée a tout digéré, le politique comme la sphère culturelle ou toute autre activité humaine non productive de richesses. La liberté sans la démocratie prépare-t-elle une démocratie sans libertés ?
Bien à vous
Nelly
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