Avant son investiture, le nouveau président américain doit choisir ministres, conseillers, ambassadeurs ou directeurs d’agences fédérales. Tour d’horizon de ces personnalités amenées à jouer un rôle de premier plan dans les quatre années qui viennent.
Donald Trump a promis d’être un « dictateur le premier jour ». D’incarner le changement et le choc pour personnifier la lutte contre le « système » et sa « corruption ». Les nominations annoncées depuis le lendemain de sa victoire à l’élection présidentielle américaine, le 5 novembre 2024, en attestent.
Avant son investiture, prévue le 20 janvier 2025, l’administration que le milliardaire échafaude pour son deuxième mandat ressemble à un musée des horreurs : au cœur du dispositif, un noyau de fidèles, les avocats du président, condamné au pénal avant sa réélection, des hommes d’affaires au premier rang desquels Elon Musk, des masculinistes, des antivax, des xénophobes et des racistes…
Mediapart recense ces premières nominations et détaille le profil des personnalités désignées par le président élu, sous réserve pour plusieurs d’entre elles de leur confirmation devant le Sénat, acquis au Parti républicain.
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