L’affaire Bétharram et le calvaire de Bayrou

L’hebdo : l’affaire Bétharram et le calvaire de Bayrou, l’intelligence artificielle et son monde, Trump continue de renverser la planète…

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samedi 15 février 2025
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Affaire Bétharram-Bayrou
Par David Perrotin, Antton Rouget
Le premier ministre a déclaré, mardi 11 février à l’Assemblée, n’avoir « jamais » été informé des violences commises dans cet établissement catholique de la région de Pau. Mediapart publie un courrier avec son accusé de réception ainsi qu’une photo d’archive qui font voler en éclats sa défense.
Par David Perrotin, Antton Rouget
En 1996, la condamnation d’un surveillant général met en lumière l’incroyable climat de violences au sein de l’établissement. Une professeure tente de briser l’omerta. Mais le ministre de l’éducation de l’époque, François Bayrou, maintient sa confiance à l’institution religieuse.
Par David Perrotin, Antton Rouget
Alors que le premier ministre persiste à dire qu’il ignorait les accusations de violences physiques et sexuelles qui pesaient à la fin des années 1990 sur Notre-Dame-de-Bétharram, un témoin central vient plomber sa défense. Le juge d’instruction de l’époque confirme à Mediapart avoir rencontré l’élu et lui avoir tout dit des viols mis au jour par son enquête.
Par David Perrotin, Antton Rouget
Selon nos informations, en dépit d’une condamnation pour des violences physiques en 1996, de la mise en cause du directeur pour des viols sur mineur en 1998, d’autres alertes au fil des années 2000 et d’une centaine de plaintes déposées depuis 2023, cet établissement privé sous contrat n’a jamais été contrôlé par le ministère de l’éducation nationale depuis trente ans.
Par Mathieu Dejean, David Perrotin, Antton Rouget
Pour la deuxième journée consécutive, le premier ministre a été interpellé à l’Assemblée nationale sur ses silences face aux violences au sein de l’établissement catholique. François Bayrou a maintenu sa position, au milieu des appels à la démission.
Par Pauline Graulle, Mathilde Mathieu
Alors que des parlementaires d’opposition appellent à sa démission, le premier ministre n’est soutenu que du bout des lèvres par ses propres troupes. Les macronistes, eux, affichent une certaine indifférence quant au sort du président du MoDem.
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