Nous reproduisons ci-dessous le compte-rendu diffusé dans le RESU sur la rencontre entre les représentants du Comité français du RESU et Sophie Binet, secrétaire confédérale de la CGT.
Robi Morder, Bernard Dréano et Vincent Présumey, Mariana Sanchez étant excusée, ont rencontré Sophie Binet, accompagnée de Boris Plazzi et Renata Tretiakova du secteur international de la CGT, le vendredi 7 février pendant une heure.
L’entretien a été cordial.
Nous avons présenté le RESU, ses activités les plus récentes (ambulance mitraillée) et insisté sur l’importance des prises de positions syndicales en faveur de l’Ukraine et la nécessité de les concrétiser à tous les échelons des organisations syndicales, et cela prochainement pour les 23-24 février.
Sophie Binet s’est interrogée sur les prochains évènements diplomatico-militaires en relation avec Trump : la paix à quelles conditions, étant entendu que le but est bien le retrait des troupes russes de tout le territoire ukrainien ? L’un de ses questionnements portait sur des référendums dans les territoires occupés : nous avons précisé que ceci n’est pas concevable dans les conditions de l’occupation, d’un début de colonisation de peuplement, et sans retour des réfugiés.
La Bélarus a également été abordée rapidement, avec des craintes pour la santé du camarade Aliaksandr Yarachuk, dirigeant du BKDP, emprisonné.
Il a été convenu de rester en contact avec les deux camarades du secteur international, et notamment de les recontacter juste après les 23-24 février, une réunion de la CES se tenant début mars.
Aliaksandr Iarashuk, dirigeant du BKDP bélarusse, emprisonné depuis bientôt 3 ans, est en danger.
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