Affaire Bétharram : à qui attribuer la responsabilité ? Le point de vue de Jean-Mau

L’affaire Bétharram révèle des décennies de violences dans un pensionnat catholique. Entre l’Église, l’État et les responsables locaux, qui doit rendre des comptes pour ces silences si longtemps entretenus ? Pour en parler, Quentin Lafay reçoit :

 Véronique Margron, présidente de la Corref (Conférence des religieux et religieuses de France)

 David Perrotin, journaliste à Mediapart, spécialisé dans les affaires d’abus et de violences sexuelles

 Céline Béraud, sociologue, directrice d’études à l’EHESS et membre du Centre d’études en sciences sociales du religieux

Affaire Bétharram : à qui attribuer la responsabilité ? – YouTube

Et le commentaire que j’ai expédié.
8 minutes 20 secondes avant que le journaliste de France Culture évacue le silence complice de près d’un mois du groupe Radio France, sur un sujet qui met en cause un exécutif qui pratique de plus en plus la violence face à des majorités d »adultes. Contingents d’adultes considérés comme des mineurs en économie, en démocratie. 75% des français soutenaient les Gilets Jaunes au début d’un mouvement
massacré pour être décrédibilisé. 75% contre la réforme des retraites passée en force à coups de 49.3. J’ai de plus en plus de mal à écouter vos radios d’où même l’humour a été nettoyé. Je renonce également à lire une Presse écrite tout autant aux ordres de ses propriétaires.
Me restent Médiapart, Blast, Reporterre, Orient 21. Du moins jusqu’au contrôle à venir de la Presse numérique.
J’ai traversé ce dont vous traitez, entre mes 7 ans & mes 10 ans. J’en ai 72. Le célibat des prêtres, doublé de l’inquisitoriale confession, tant pour les enfants que pour leurs géniteurs, a fait de l’église catholique une couverture massive & protectrice pour pédocriminels jusqu’à aujourd’hui.
Les intégristes, à ce jour, sont toujours à la manœuvre en la matière. Célibat, uniforme religieux & confession sont les outils permettant aux pédocriminels essentiellement mâles de repérer dans le troupeau des fidèles ceux qui sont les plus fragiles, les moins défendables, les moins défendus. C’est ce que ne peut entendre Bayrou. Dernière précision j’ai été placé en établissement catholique en internat
après qu’un instituteur laïque m’ait traité, devant 52 élèves, dans les préfabriqués de l’époque de fils d’assassin.

Mon père était jeune officier & servait la France en Indochine.

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