Fatima Hassouna, photojournaliste gazaouie, a été tuée le 16 avril

Fatima Hassouna, photojournaliste gazaouie, a été tuée le 16 avril dans le bombardement de sa maison familiale par l’armée israélienne.
Dix personnes sont mortes dans cette frappe ciblée, dans le quartier d’Al-Tuffah, au nord-est de Gaza.
Son nom s’ajoute à une liste tragique : 157 journalistes et professionnels des médias palestiniens ont été tués depuis le début de l’offensive.
La veille, le nom de Fatima Hassouna était pourtant célébré à Cannes avec l’annonce de la sélection du documentaire Put your soul on your hand and walk, réalisé par l’iranienne exilée Sepideh Farsi, qui mettait en lumière le travail execeptionnel de cette photo journaliste.
Fruit d’un échange vidéo de près d’un an entre les deux femmes, ce film documente, de l’intérieur, le siège et les massacres à Gaza.
« Fatima est devenue mes yeux à Gaza », écrit Sepideh Farsi. « Elle m’a transmis des fragments du massacre en cours. » Ces fragments sont devenus un film. Mais Fatima ne le verra jamais.
L’armée israélienne n’a apporté aucune justification à ce bombardement.
Pendant ce temps, Médecins Sans Frontières alerte : « Gaza est devenue une fosse commune pour les Palestiniens et ceux qui leur viennent en aide. »
Peut être une image de texte qui dit ’Fatima Hassouna, photojournaliste gazaouie, a été tuée le 16 avril dans le bombardement de sa maison familiale par l'armée israélienne. Dix personnes sont mortes dans cette frappe ciblée, dans le quartier d'Al-Tuffah, d'Al- Tuffah, au nord-est de Gaza. Son nom s'ajoute à une liste tragique: 157 journalistes et professionnels des médias palestiniens ont été tués depuis le début de l'offensive.’
Peut être une image de texte qui dit ’La veille, le nom de Fatima Hassouna était pourtant célébré à Cannes avec l'annonce de la sélection du documentaire Put your soul on your hand and walk, réalisé par l'iranienne exilée Sepideh Farsi, qui mettait en lumière le travail execeptionnel de cette photo journaliste. Fruit d'un échange vidéo de près d'un an entre les deux femmes, ce film documente, de l'intérieur, le siège et les massacres à Gaza.’
Peut être une image de texte qui dit ’< Fatima est devenue mes yeux à Gaza », écrit Sepideh Farsi. < Elle ' transmis des fragments du Ces fragments sont devenus un film. Mais Fatima ne le verra jamais massacre en cours. >> L'armée israélienne ' apporté aucune justification à ce bombardement. Pendant ce temps, Médecins Sans Frontières alerte: < Gaza est devenue une fosse commune pour les Palestiniens et ceux qui leur viennent en aide. >>’
Ce champ est nécessaire.

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*