Qu’en pensent les gilets jaunes de FORCALQUIER et d’ailleurs ?

People walk down the Champs ELysees avenue on February 16, 2019 during the 14th consecutive week of Yellow vest (Gilets Jaunes) movement nationwide protests against French President's policies and top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." (Photo by Eric FEFERBERG / AFP)

Nelpal

 phrase erronée 

Est-ce, réellement, une opposition entre les villes et les campagnes, ou bien, une volonté des pouvoirs en place, d’accentuer le système de raréfaction des services pour l’intérêt général, au détriment, de l’intéret de quelques uns, par le biais, d’ouvertures au marché public/privé.

Phrase à rectifier  avec mes excuses 

Est-ce, réellement, une opposition entre les villes et les campagnes, ou bien, une volonté des pouvoirs en place, d’accentuer le système de raréfaction des services pour l’intérêt général, au profit de l’intéret de quelques uns, par le biais, d’ouvertures au marché public/privé.

Qu’en pensent les gilets jaunes de FORCALQUIER et d’ailleurs ?

J’ai retenu un point de vue, datant de 2018

Le mouvement des « gilets jaunes » s’inscrit dans une politique du paradoxe qui dépasse les clivages binaires. Du paysan et petit commerçant historiquement de droite à l’ouvrier, le fonctionnaire et l’employé historiquement de gauche, ce mouvement est le symbole d’une révolte populaire contre le moment de vérité macronien, qui a jeté une lumière crue sur la fusion du libéralisme sociétal de gauche et du libéralisme économique de droite. Il ne s’agit pas d’une insurrection des «pauvres» contre les «riches» mais bien plus largement d’une rébellion des classes moyennes et ouvrières qui sont fragilisées économiquement et culturellement. L’ensemble des couches sociales dit modestes se sent ignoré et humilié. Elle a également envoyé confusément que l’autorité est à reconquérir par les gens simples. Le gilet jaune, paradoxalement impératif issu de la technocratie, est devenu le moyen des invisibles de se rendre visible dans la nuit… Ces catégories majoritaires ont du mal à boucler leurs fins de mois et leurs modes de vie sont méconnus, voire méprisés, par la classe politico-médiatique, principalement concentrées dans les villes mondialisées.

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Qu’en pense les gilets jaunes de Forcalquier ?

Qu’en est-il aujourd’hui, de leurs difficultés au quotidien  ?

La participation à ce mouvement  leur a-t-il  permis de coordonner des actions pour améliorer leur vie ?  

 Est-ce, réellement, une opposition entre les villes et les campagnes, ou bien, une volonté des pouvoirs en place, d’accentuer le système de raréfaction des services pour l’intérêt général, au détriment, de l’intéret de quelques uns, par le biais, d’ouvertures au marché public/privé ? 

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Bien à vous 

Nelly

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