Honorer la mort d’un fasciste c’est continuer à faire vivre ses appels à fasciser le monde, c’est se désarmer face à ce qu’il a armé pour détruire la démocratie, le droit de tout un chacun de vivre libre, égal aux autres. Travaillons à désarmer ce que ses semblables veulent que nous honorions avec eux, la pulsion de mort de leur idole. Ne permettons pas qu’elle lui survive, enterrons-la avec lui, au plus profond de la terre, pour que vivent, par nos luttes antifascistes, les libertés, les droits humains et l’émancipation des peuples vis-à-vis de leurs tyrans !

Qu’on se le dise, comme le dit ce pasteur américain, « La mort ne rachète pas la façon dont on a vécu ». Il y a des morts qui appellent la mort !