Il m’arrive d’être interpellé au sujet du travail de Frustration magazine : en défendant des options révolutionnaires, en critiquant des partis, des mesures ou des candidats qui nous semblent timorés et pas à la hauteur de l’époque, est-ce qu’on ne ferait pas « le jeu de l’extrême-droite » ? La période menaçante que nous vivons ne devrait-elle pas nous pousser à taire nos différents et à remettre à plus tard nos critiques ? Puisque le pire est à venir, n’est-il pas contre-productif d’appeler au meilleur ?

Éléments de réponses.























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