Depuis le début de la crise, la Confédération paysanne réclame une gestion sanitaire co-construite. Témoigner de la détresse des éleveur·euses face à la violence orchestrée par l’État et dénoncer le refus de la inistre de débattre d’une autre stratégie ne sont ni du « populisme » ni de la « désinformation ». Pas plus que de dire que la gestion de la situation est un tournant autoritaire inacceptable.
Face à une ministre irrémédiablement sourde à la situation et à la détresse des éleveur·euses, la Confédération paysanne joue parfaitement son rôle en les accompagnant et en portant trois revendications principales :
– agir au niveau européen pour un changement de classification de la maladie ;
– mettre fin à l’abattage total au profit de l’euthanasie des animaux malades, pour le bien-être des animaux euthanasiés ;
– lancer une campagne de vaccination large et accessible à tous et toutes.
La mobilisation pour exiger une autre politique sanitaire de la DNC et soutenir les éleveur·euses continue donc et s’amplifie puisque plus de trente départements sont déjà mobilisés.
Face à une ministre irrémédiablement sourde à la situation et à la détresse des éleveur·euses, la Confédération paysanne joue parfaitement son rôle en les accompagnant et en portant trois revendications principales :
– agir au niveau européen pour un changement de classification de la maladie ;
– mettre fin à l’abattage total au profit de l’euthanasie des animaux malades, pour le bien-être des animaux euthanasiés ;
– lancer une campagne de vaccination large et accessible à tous et toutes.
La mobilisation pour exiger une autre politique sanitaire de la DNC et soutenir les éleveur·euses continue donc et s’amplifie puisque plus de trente départements sont déjà mobilisés.

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