Qualité de l’eau potable : en Provence

[eau-forcalquier-lure] Réaction à l’article publié dans les colonnes de La Provence le 17 décembre titré Qualité de l’eau potable : en Provence, la crainte d’une explosion du prix de l’or bleu sous la signature de Tristan DEVAUX .

Bonjour,

Vous découvrirez ci-dessous ma réaction à l’article publié dans la
Provence du 17 décembre *Qualité de l’eau potable : en Provence, la
crainte d’une explosion du prix de l’or bleu *sous la signature de
Tristan DEVAUX et ma demande d’insertion dans une prochaine édition de
La Provence.

*Pour le Collectif Régie publique de l’eau de Manosque et DLVA*

Claude TESTANIERE

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Bonjour,

Je souhaitais réagir à un article publié dans vos colonnes le 17
décembre  titré *Qualité de l’eau potable : en Provence, la crainte
d’une explosion du prix de l’or bleu *sous la signature de Tristan
DEVAUX . (cf.pièce jointe)

Je vous saurais gré de bien vouloir publier dans une prochaine édition
de votre quotidien le document joint intitulé « Réaction à l’article du
17  décembre publié dans La Provence titrQualité de l’eau la crainte de
l’explosion du prix de l’eau »

/« À partir du 1er janvier 2026, les Pfas, ou polluants éternels, vont
intégrer la liste des métabolites recherchés. Là encore, pour respecter
les normes, syndicats de l’eau et collectivités vont devoir mettre la
main à la poche. Et répercuter ces surcoûts sur le prix du mètre cube.
Un cercle vicieux : « plus on cherche la pollution, plus on la trouve »,
insiste François Prevost, conseiller communautaire délégué à l’eau et à
l’assainissement de la communauté de Forcalquier. »/

Il coule de source que les usagers/abonnés de l’eau soient en droit
d’exiger une eau de qualité mais il est tout aussi légitime d’exiger que
les pollueurs soient les payeurs !

*L’UFC Que Choisir* a bien raison d’alerter dans sa récente publication
dont vous trouverez le lien ci-après :
https://www.quechoisir.org/action-ufc-que-choisir-la-goutte-de-trop-eau-ras-le-bol-de-payer-pour-la-pollution-des-autres-n171904/

Nous la citons : */« Dépolluer ne suffit plus. Il faut empêcher la
contamination avant qu’elle n’atteigne nos captages. Protéger les
sources, réduire les pollutions à la source et moderniser les réseaux,
c’est assurer une eau saine, durable et abordable pour toutes et tous. »/*

Ces évidences nous ramènent à une situation locale qui nous conduit à
demander où en est l’enquête judiciaire suite à la pollution de l’eau de
*Le Castellet d’Oraison en juin 2022* par un produit toxique interdit
depuis 2008 ?

A l’époque, par solidarité élémentaire et admissible par tous, près d’un
million d’euros d’argent public a été dépensé par les usagers/abonnés de la communauté de communes de la DLVA pour que les habitants puissent à nouveau consommer l’eau du robinet par la connexion au réseau d’eau d’Oraison, mais quelle pérennité de la solution choisie ?

Comment garantir que de nouvelles sources ne soient pas affectées ?

Le Rapport d’Enquête Publique du 21 novembre 2022 conclut que la
protection des sources de Laga doit être déclarée d’utilité publique,
les sources mise en conformité règlementaire et bénéficier d’un
périmètre de protection effectif.

L’arrêté préfectoral n°2012-272, relatif à la mise en œuvre d’un
programme d’action pour la protection du captage de l’hippodrome
d’Oraison préconise la mise en œuvre d’un périmètre de protection et
d’une charte d’engagement des agriculteurs).

Où en est cette procédure que doivent conduire les services de DLVA ?

Nous demandons plus d’information sur le calendrier du processus et une transparence totale sur les résultats de l’enquête.

Prévenir la pollution, plutôt que la payer.

Veuillez agréer mes cordiales salutations.

*Pour le Collectif Régie publique de l’eau de Manosque et DLVA*

Claude TESTANIERE

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