Tout le monde déteste…

Le seul à être choqué sur le plateau c’est un Général de Gendarmerie.
C’est dire le niveau de manipulation médiatique qui pousse à faire croire que l’ensemble de la police ou gendarmerie est vertueuse.
Pour être respecté, il faut être respectable et encore plus lorsqu’on représente l’arc républicain.

Image

BLAST
Quand la police nationale exhibe fièrement une banderole féministe à l’envers C’est une pratique très connue des milieux hooligans : s’afficher encagoulés avec le matériel ennemi retourné. Mais cette fois, il n’est en rien question de sport : c’est la police nationale qui reprend cette mise en scène, en posant fièrement avec une banderole antifasciste et antiraciste. Contexte : lors de la manifestation contre les violences sexistes et sexuelles du 22 novembre, à Paris, les forces de l’ordre ont escorté pendant des heures les cortèges du groupe identitaire d’extrême droite « Némésis » et du collectif pro-israélien « Nous vivrons ». Dans le même temps, ces mêmes forces ont réprimé les cortèges féministes antifascistes et pro-palestiniens qui tentaient de s’opposer à la présence de ces groupes, notamment en prenant systématiquement pour cible les banderoles déployées. C’est ainsi l’une d’elle qui a été ensuite exhibée comme un trophée par une quinzaine de policiers cagoulés, en uniforme, posant sous un drapeau français dans un commissariat. Cette mise en scène n’a rien d’anodine : en reprenant ouvertement les codes hooligans, ces policiers affichent clairement — et fièrement, en uniforme — leur posture d’ennemis des mouvements féministes et antiracistes. Et ce en dépit évident du principe de neutralité du service public et du devoir de réserve de ses agents. Vague brune, vous dites ? Au moins, chez les hooligans, on ne se protège pas derrière l’uniforme.
Ce champ est nécessaire.

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*