Dans la nuit de jeudi à vendredi, une épidémie de « tagagisme aigüe » a touché autant les biens publics que privés, provoquant le courroux des propriétaires obligés de nettoyer à leurs frais ou à ceux du contribuable les sévices subis. De l’argent qui, en cette période de fêtes, aurait dû trouver meilleur sort. La Ville a porté plainte auprès de la gendarmerie locale après la découverte de ces dégradations.
Poster un Commentaire