Énorme succès du rassemblement de soutien aux forces de l’ordre face aux infâmes accusations de violences et de racisme. La fameuse majorité silencieuse est sortie dans les rues de Paris ! Rien à voir avec l’échec du rassemblement du 13 juin à République où seuls quelques centaines de personnes ont tenté de faire croire qu’un mouvement populaire était en train de naître…
Un rassemblement en soutien aux forces de l’ordre à Paris
Une manifestation a été organisée à l’appel de l’association des femmes de policiers pour soutenir la profession.
Des policiers, des proches de policiers et des sympathisants se sont rassemblés samedi après-midi 27 juin à Paris à l’appel de l’association Femmes des forces de l’ordre en colère (FFOC), «face à la division, à la mise à mal de nos valeurs, à la haine antiflic».
«Soutien aux FDO», peut-on lire sur une pancarte #policiers pic.twitter.com/LnM06JfCl2
— Guillaume Poingt (@guillaumepoingt) June 27, 2020
«J’ai été choquée par ce qui s’est passé aux Etats-Unis mais il faut arrêter les amalgames (…) Je suis venu soutenir les gens qui nous protègent», explique Christine, 44 ans, chef d’entreprise #policiers pic.twitter.com/p1PcT1Viav
— Guillaume Poingt (@guillaumepoingt) June 27, 2020
Une dizaine de contre-manifestants, «Gilets jaunes» ou militants d’extrême gauche ont été empêchés par les forces de l’ordre, présentes en nombre, d’accéder au rassemblement, a constaté une journaliste de l’AFP. Après un contrôle d’identité, il leur a été demandé de quitter la zone.
Plus de 200 policiers s’étaient déjà réunis vendredi soir devant le Bataclan à Paris, salle de concert endeuillée lors des attentats du 13-Novembre, pour protester contre les accusations de violences policières et de racisme à l’encontre de leur profession, et dénoncer un manque de soutien de l’Intérieur.
Plusieurs dizaines de fourgons, motos, et voitures ont bloqué la rue devant la salle de concert vers 23h30, a constaté un journaliste de l’AFP. En civil ou en tenue, arme à la ceinture, les policiers ont déposé leurs menottes en silence sur la chaussée, avant d’entonner une Marseillaise en signe de protestation.
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