Qui détient le monopole de la violence ?

Amnesty International publiait mardi 29 septembre un rapport dans lequel l’ONG dénonce l’usage de la loi comme « arme de répression des manifestants pacifiques en France ».
Marco Perolini, chercheur pour la France à Amnesty International, condamne dans cette enquête « une volonté politique de faire des exemples et dissuader les gens de descendre dans la rue ».
Si les images des violences émanant des manifestations ont été grandement relayées depuis les manifestations des Gilets Jaunes, le traitement judiciaire des manifestations reste, lui, flou.
Que révèle une telle enquête au sujet de l’Etat français ? Peut-on parler d’une violence liée au traitement judiciaire des manifestants ? L’Etat français a-t-il un problème au sujet de la légitimité de l’usage de la violence ?
Pour en parler ce matin, David Dufresne, écrivain et réalisateur du documentaire « Un pays qui se tient sage », qui sort en salles mercredi 30 septembre et Alain Bauer, professeur titulaire de la Chaire de Criminologie du Conservatoire National des Arts et Métiers et auteur de « Les Protecteurs : la gendarmerie nationale racontée de l’intérieur » aux éditions Odile Jacob sont nos invités.

 

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