NICE le 02/05/2021
Par le docteur Jacques CORALLO
Lu dans la presse. Je dis lu. Je ne sais pas ce qui est vrai ce qui ne l’est pas, mais lu. A Nantes le 18 mars, un jeune étudiant en médecine décède dans les jours suivants immédiatement une vaccination anti-covid. En la circonstance AstraZeneca. Il est écrit que ce pauvre garçon a été victime d’une thrombose de la veine de la rate, splénique. Là, je dresse l’oreille. Je suis hépatogastroentérologue. C’est ou plutôt ce fût mon métier. La veine splénique est dans l’abdomen, c’est une des branches constitutives du tronc Porte.
Alors je peux dire. En dehors de pathologies abdominales diverses et associées, ou bien en dehors de certaines maladies hématologiques, la thrombose de la veine Porte n’existe pas. Cette réalité donne un poids supplémentaire à la concomitance de la survenue de cet accident mortel avec l’administration du vaccin.
Voilà ! Nous avons un mort !
Mort parce que certains ont voulu le protéger paraît il, par le vaccin! Un jeune homme de 18 ou 20 ans préalablement semble t il en parfaite santé, un garçon probablement travailleur, enthousiaste, peut-être brillant.
Mort ! Décédé ! Disparu ! Privé de sa vie !
Et pourquoi est il mort ?
Pour être protégé d’une maladie qui dans sa tranche d’âge ne lui faisait courir aucun, aucun risque sérieux !
Et qui plus est une maladie pouvant être traitée au moins au stade précoce par au moins une demi douzaine de médicaments, bénéficiant tous, mais à l’étranger d’un niveau d’évaluation significatif, j’ai nommé ivermectine, budesonide, fluvimax, azythromycine, Zinc, vitamine D…
J’évite de reparler de l’hydroxychloroquine qui sent trop le soufre mais dont je vais reparler un peu plus loin. Et en France toutes ces possibilités sont rejetées sans la moindre étude, ceux qui en parlent envoyés au bûcher.
Je cite aujourd’hui dans Nice-matin, le (grand ?) professeur Carles parlant d’une approche thérapeutique proposée par un autre médecin, généraliste à Mougins : « Il est logique et souhaitable d’avoir des éléments plus complets sur ce type de prise en charge avant de la recommander systématiquement ». Et voilà. Attendons. Attendons quoi ?
Le professeur n’est il pas là pour faire de l’investigation clinique ? Il est payé pour ça ! Qu’a t il fait depuis un an ?
Non il n’investigue pas parce qu’il soigne une maladie bénigne. Il le dit «..la majorité des formes avec symptômes vont guérir sans traitement. » (faute de français. Il fallait écrire « va » puisque le sujet est « la majorité »).
Pour une maladie bénigne on a injecté une substance mortelle dans les veines du jeune homme ! Finalement bénin ou grave ? Suffisamment bénin pour qu’on refuse des traitements simples bien tolérés, suffisamment grave pour qu’on promeuve à grands coups de tam-tam un vaccin expérimental !
Bénin ou grave ? Grave ou bénin ?
Trop bénin pour prendre le risque d’un traitement sans risque, trop grave pour ne pas prendre le risque des effets mortels d’un vaccin expérimental !
Et maintenant les petits et grands génies de la santé publique France vont aller s’expliquer devant la famille les sœurs les frères, la fiancée peut-être du jeune homme, les amis. Ils vont leur expliquer toutes les subtilités et les finesses du bénéfice/risque. Statisticiens de pacotille avec leurs modèles constamment faux, scientifiques tuyaux de poêle, médecins d’ordinateurs, Professeurs de télévision !
Et ceux là sont ils les mêmes que ceux qui ont évalué les bienfaits ou les méfaits de l’hydroxychlorquine en administrant à des mourants c’est à dire trop tard, une dose du produit quatre fois supérieure à la dose proposée à Marseille ?
Dans quel but, démontrer la toxicité, achever les patients ?
Quatre fois la dose ! Quatre fois !
On a appelé ces essais « discovery » ou « recovery », de jolis noms…
Et maintenant, la plus grande expérimentation biologique portant sur l’humain est en route ! Alors je vous le dis. On arrête Astrazeneca pour tout le monde (Norvège, Danemark), on regarde les autres vaccins avec circonspection. On applique, justement les recommandations du professeur Carles « Il est logique et souhaitable d’avoir des éléments plus complets sur ce type de prise en charge avant de la recommander systématiquement ».
Parce que prudence de Sioux quant à l’usage de médicaments archi-connus, hyper-utilisés, parfaitement inoffensifs et efficaces, enthousiasme et frénésie quant aux vaccins.
J’en reviens au pauvre jeune homme. Il faut dès maintenant, dès maintenant, dès avant-hier éviter les vaccins pour les moins de 60 ans sans facteur de risque, et ne pas toucher aux gamins !
Pas les gamins !
On réserve, dans l’immédiat les vaccins aux personnes à risque, et encore sous réserve d’inventaire. Et on évalue enfin les vaccins. Innocuité, efficacité dans l’intensité et dans le temps.
Car sont-ils efficaces ?
Combien de temps ?
Pour quelle population ?
Je vous le dis la totalité de l’histoire n’est pas écrite. Mais dans le même temps, l’Europe est en train de se couvrir d’usines à vaccins…
Rendez vous en septembre pour la quatrième vague et la troisième dose. Quant à moi je suis vacciné. On ne me traitera pas d’anti-vaccin ou de je ne sais quoi d’infamant, d’hurluberlu par exemple.
Et c’est pour ça que je l’ai accepté, peut-être aussi par routine, bêtement !
Parce que pour ce qui est du reste, je ne suis pas un hurluberlu, toute ma carrière en témoigne.
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