23 12 2021
Ces évènements sont mis en parallèles avec la situation ubuesque dans laquelle notre pays se trouve. Si il y’a un rappel d’utilité public, il s’agit bien de celui-ci. Un autre rappel tout aussi intéressant : En 2012, la société Pfizer fût condamnée pour corruption, avec une amende de 60 millions de dollars.
La société Pfizer avait versé des pots-de-vin à des politiciens et médecins en Chine, en République tchèque, en Italie, en Serbie, en Bulgarie, en Croatie, au Kazakhstan et en Russie.
On est en droit de se demander ce que peut bien peser une amende de 60 millions de dollars, dans la comptabilité d’une multinationale telle que Pfizer, et ce surtout lorsqu’il s’agit d’atteindre ses objectifs. Si aujourd’hui la corruption fait encore partie de l’ADN commerciale de la marque. Face à un marché inédit et extrêmement rémunérateur, la société Pfizer n’aurait-elle pas intérêt à réitérer cette stratégie commerciale, certes illégale mais rentable ?
C’est dans l’hypothèse d’une telle corruption que nous pouvons comprendre une des raisons justifiant les mesures coercitives à tendances totalitaires, de nos dirigeants et des pays du monde entier dans la gestion de cette crise. Nous pouvons comprendre également, le mutisme des gouvernements et des médias officiels dans leurs injonctions à la vaccination quant aux nombreuses inconduites du groupe pharmaceutique, et particulièrement au sujet des nombreux effets secondaires graves, qui pour une majeur partie, peinent à être reconnus par les divers autorités de santé nationale.
Effets secondaires dont les témoignages, ne cessent et ne peuvent qu’augmenter par extension de la couverture vaccinale, et pour lesquels un grand nombre de médecins et professionnels de santé, par prudence, formation et idéologie, n’acceptent que difficilement l’implication de la vaccination, n’en remontant donc que peu les cas, même graves.
Effets secondaires pour lesquels la société Pfizer et d’autres groupes pharmaceutiques sont par contrat non responsable et dont les populations ne sont pas informées, par les incessants spots publicitaires incitatifs à la vaccination. Pour le silence des médias, les 319 millions de dollars donnés en amont de la crise, à un large spectre de médias internationaux, par le prophète milliardaire philanthrope et évangéliste de la vaccination ainsi que des thérapies géniques, qui n’est autre que Bill Gates, est une piste à ne pas négliger.
Comparé à une majorité saine après injection mais toujours contagieuse, ces effets secondaires graves semblent dérisoires du point de vue statistique.
Au regard de la dignité humaine, dont tous de fait, et par la loi, avons droit, ils demeurent dramatiques et inacceptables. Dans la perspective de l’instauration d’une vaccination obligatoire et au regard du nombre de morts imputables à la vaccination, pour un grand nombre de citoyens, les États se font les bourreaux de ces sociétés comme Pfizer, laissant à notre époque dans l’histoire, une nouvelle fois un souvenir amère, au pire d’un génocide, au mieux d’un populicide.
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Armand Forestier et 2,9 K autres personnes
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