Javier Milei, le nouveau président argentin, aura été élu sur le même mécanisme que Trump ou Bolsonaro : « aller dans l’outrance, choquer, provoquer des émotions, qu’elles soient positives ou négatives. Et derrière, avoir de forts relais dans le millieu médiatique et économique. »
Surfer sur la colère provoquée par l’appauvrissement de la population, occuper les réseaux sociaux et les médias, pour finalement battre un candidat plus classique ou conventionnel, c’est un pari gagné pour ce sinistre personnage.
Ceux qui pensent pouvoir contrer le fascisme de ce nouveau siècle à base de débat d’idées et de convaincre les gens de l’absurdité de ces candidats sont voués à perdre élection après élection.
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