A Bordeaux, huit personnes arrêtées dans le milieu de l’extrême droite,

French MP of the 3rd constituency of the Val-de-Marne department Louis Boyard (BottomL) and French MP of the 7th constituency of the Val-de-Marne department Rachel Keke, members of the La France Insoumise (LFI) group, and part of the NUPES intergroup, look on as they attend a session of The National Assembly on proposals by La France Insoumise (LFI) party in Paris on November 24, 2022. (Photo by Geoffroy VAN DER HASSELT / AFP)

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/03/14/a-bordeaux-huit-personnes-arretees-dans-le-milieu-de-l-extreme-droite-apres-des-heurts-lors-d-une-conference-organisee-par-la-france-insoumise_6222057_3224.html

A Bordeaux, huit personnes arrêtées dans le milieu de l’extrême droite, après des heurts lors d’une conférence organisée par La France insoumise

En décembre 2022, deux députés LFI avaient annoncé porter plainte après avoir vu leur intervention à l’université Montaigne perturbée par des dizaines d’individus.

Le Monde avec AFP

Publié hier

Huit hommes liés à un groupe d’extrême droite ont été placés en garde à vue, mercredi 13 mars à Bordeaux, dans le cadre d’une enquête sur des violences lors d’une conférence universitaire à laquelle participaient deux députés LFI, selon des sources judiciaire et proche de l’enquête.

« Les gardes à vue ont débuté [mercredi] à 6 heures », a précisé le parquet de Bordeaux à l’Agence France-Presse. L’enquête a été ouverte pour violence volontaire avec ITT inférieure à huit jours, violence sans ITT et participation à un groupe formé en vue de la préparation de violences à caractère raciste, a précisé la même source, confirmant une information de BFM-TV.

Le 8 décembre 2022, les députés LFI Louis Boyard et Carlos Martens Bilongo avaient annoncé porter plainte après avoir vu leur intervention à l’université Montaigne, perturbée par des dizaines d’individus. Selon les deux élus, un groupe composé d’une « trentaine de militants d’extrême droite », armés « de matraques télescopiques », a « tenté de s’introduire dans l’amphithéâtre » où les deux députés animaient une conférence.

L’incident avait fait réagir le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin : « La police a dû intervenir hier pour protéger deux députés qui avaient été menacés par plusieurs dizaines d’individus », avait-il déclaré dans un tweet, sans préciser la couleur politique du groupe d’individus en question. « La liberté d’expression est une liberté fondamentale et ce qui s’est passé est inacceptable », poursuivait-il, invitant les parlementaires à déposer plainte.

Le Monde avec AFP

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