Alors que l’Europe célébrait la fin du nazisme, les forces françaises massacraient des milliers d’Algérien·nes dans la région de Sétif. Il faudra attendre 2005 pour que l’ambassadeur de France à Alger parle de “tragédie inexcusable”.
En 2015, le secrétaire d’État français chargé des Anciens combattants avait participé aux commémorations à Sétif. Mais une reconnaissance officielle de la France est depuis attendue à Alger.
“Le dossier de la mémoire ne saurait faire l’objet de concessions ni de compromis et restera au cœur de nos préoccupations jusqu’à son traitement objectif, audacieux et équitable envers la vérité historique”, a déclaré mardi le président algérien Abdelmadjid Tebboune.
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