On le sentait venir, c’est désormais acté : Le gouvernement Macron/Barnier collabore activement avec l’extrême droite. Les récents votes en commission révèlent une convergence entre la majorité sortante et le Rassemblement national, qui sape le pseudo « cordon sanitaire » et crache à la gueule du vote barrage censé empêcher la normalisation des idées d’extrême droite et son accession au pouvoir .
Le Monde révèle ainsi que les élus macronistes et d’Horizons n’hésitent pas à faire appel aux voix du RN pour conserver des postes stratégiques : « Tout vaut négociation. On vient taper à la porte sans arrêt, on nous joue du violon, pour une présidence de délégation ou de commission… », certifie Sébastien Chenu, coprésident délégué du groupe RN à l’Assemblée nationale. Un soutien qui a permis au RN de décrocher six vice-présidences de commission.
Sous le couvert de l’anonymat, un député macroniste confirme la réalité de ces manœuvres : « Ce n’est pas glorieux, c’est cracra, mais c’est un sujet de tambouille interne, pas un Français ne voit ça. On a fait du gros sale dans le cadre d’un rapport de force nécessaire. »
Une député RN qui avait envoyé un message à un ministre du gouvernement Barnier aurait reçu comme réponse de ce ministre « Il va falloir que l’on parle à tout le monde »Même ambiance du côté de l’ancien premier ministre (et candidat à la prochaine présidentielle) Edouard Philippe, qui a confirmé avoir dîné avec Marine Le Pen dans le cadre privé de l’appartement parisien de Thierry Solère, très proche conseiller d’Emmanuel Macron.
Le Monde révèle ainsi que les élus macronistes et d’Horizons n’hésitent pas à faire appel aux voix du RN pour conserver des postes stratégiques : « Tout vaut négociation. On vient taper à la porte sans arrêt, on nous joue du violon, pour une présidence de délégation ou de commission… », certifie Sébastien Chenu, coprésident délégué du groupe RN à l’Assemblée nationale. Un soutien qui a permis au RN de décrocher six vice-présidences de commission.
Sous le couvert de l’anonymat, un député macroniste confirme la réalité de ces manœuvres : « Ce n’est pas glorieux, c’est cracra, mais c’est un sujet de tambouille interne, pas un Français ne voit ça. On a fait du gros sale dans le cadre d’un rapport de force nécessaire. »
Une député RN qui avait envoyé un message à un ministre du gouvernement Barnier aurait reçu comme réponse de ce ministre « Il va falloir que l’on parle à tout le monde »Même ambiance du côté de l’ancien premier ministre (et candidat à la prochaine présidentielle) Edouard Philippe, qui a confirmé avoir dîné avec Marine Le Pen dans le cadre privé de l’appartement parisien de Thierry Solère, très proche conseiller d’Emmanuel Macron.
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