Le traitement médiatique des évènements d’Amsterdam

«J’ai vu une énorme différence entre Twitter, où les vidéos des chants racistes, des arrachages de drapeaux palestiniens, de la perturbation de la minute de silence, etc étaient partagées par de nombreux comptes, et les grands médias où ces infos étaient au second plan…
Et puis, au fil de la journée et des prises de parole politiques, un cadrage s’est imposé : celui du pogrom antisémite. Les grands médias se sont faits le relais, sans recul, de cette théorie. Ils ont choisi leur camp, en quelque sorte.»
Thread complet de Camille Stineau en slide
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Peut être une image de texte qui dit ’Vient l'injonction morale, stade suprême manipulation ceux qui osent donner du contexte, des clés d'explication, sont accusés de justifier, soutenir, légitimer. Alors que c'est normalement rôle journalistes. Faire des recherches poussées sur l'historique des ultras de Tel Aviv, authentifier des vidéos de chants racistes, expliquer le contexte, tout ça prend du temps, demande un vrai travail de vulgarisation auprès public. Alors la place on impose un narratif simpliste. On publie rapidement des articles pour faire du clic. Forcément "violences antisémites Amsterdam" fait plus cliquer sont ultras Tel Aviv des violences Amsterdam C'est conséquence d'un modèle économique, mais aussi déologique.’
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