Donald Trump et Vladimir Poutine se sont entretenus par téléphone

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En direct, guerre en Ukraine : Donald Trump dit que la première rencontre de son mandat avec Vladimir Poutine sera « probablement en Arabie saoudite »

L’annonce a été faite quelques heures après un appel entre les présidents américain et russe au cours duquel ils sont convenus d’engager « immédiatement » des négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine, selon la Maison Blanche.

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22:37

La Russie et l’Ukraine s’accusent d’attaques près de la centrale nucléaire de Zaporijia

Pour la deuxième fois de la semaine, la rotation du personnel de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) présent à la centrale nucléaire de Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, a été empêchée. La Russie et l’Ukraine s’en sont accusées mutuellement.

Pour rappel, ce site nucléaire, le plus grand d’Europe, a été pris par la Russie dès les premières semaines de son invasion de l’Ukraine, et la sécurité y est précaire, faisant planer le risque d’une catastrophe. Depuis septembre 2022, des experts de l’instance onusienne sont établis sur place pour surveiller la sûreté et la stabilité des installations ; les équipes tournent régulièrement.

Selon le porte-parole du ministère ukrainien des affaires étrangères, Heorhii Tykhyi, la Russie a « une fois de plus délibérément perturbé » l’opération. D’après lui, l’armée russe a ouvert le feu près de l’endroit où la rotation était prévue pour forcer l’équipe de l’AIEA à traverser le territoire contrôlé par la Russie.

La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a accusé l’armée ukrainienne d’avoir attaqué la zone pour empêcher les experts de se rendre au point de rencontre convenu.

Le directeur général de l’organisation, Rafael Grossi, a « vivement regretté » l’annulation de cette mission pourtant « soigneusement préparée ». « Malgré les assurances écrites des deux parties (…), la situation s’est avérée trop dangereuse », a-t-il expliqué, évoquant « une intense activité militaire ».

M. Grossi s’était rendu en Ukraine et en Russie la semaine dernière, où il avait discuté de cette question des rotations avec des responsables des deux pays. « Après ces événements extrêmement préoccupants », il dit mener « des consultations actives » pour permettre le maintien de la présence de l’AIEA dans la centrale.

Les inspecteurs passent environ cinq semaines sur site avant d’être remplacés selon une procédure complexe qui implique de traverser la ligne de front sous la supervision des armées russe et ukrainienne.

22:10

Donald Trump déclare que sa première rencontre avec Vladimir Poutine sera « probablement en Arabie saoudite »

« Il viendra ici, et j’irai là-bas, et nous nous verrons probablement en Arabie saoudite la première fois », a déclaré Donald Trump lors d’un échange avec des journalistes à la Maison Blanche, sans donner de date, peu après un échange téléphonique avec le président russe, Vladimir Poutine, au cours duquel ils sont convenus d’engager « immédiatement » des négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

Le président américain a aussi dit entrevoir un « cessez-le-feu » en Ukraine « dans un futur pas si lointain » et jugé qu’une adhésion de Kiev à l’OTAN ne serait pas « réaliste », peu après s’être entretenu avec ses homologues russe et ukrainien, soulignant par ailleurs qu’« il faudra des élections à un moment ou un autre » en Ukraine.

Mise à jour le mercredi 12 février, à 22 h 48 : ajout de « probablement » dans les déclarations de Donald Trump

21:00 L’essentiel

Ce qu’il faut savoir, mercredi 12 février à 21 heures

  • Donald Trump et Vladimir Poutine se sont entretenus par téléphone. Le président américain a fait savoir que Moscou et Washington allaient « entamer immédiatement des négociations » concernant la guerre en Ukraine. Les deux dirigeants se sont également invités mutuellement.
  • Le président américain a informé Volodymyr Zelensky de cet échange. Selon le président ukrainien, la discussion a porté « sur les possibilités de parvenir à la paix ». « Nous définissons nos démarches communes avec l’Amérique pour mettre fin à l’agression russe et garantir une paix fiable et durable », a-t-il précisé.
  • Le secrétaire à la défense américain a clairement tracé les lignes rouges de Donald Trump sur l’OTAN et l’Ukraine. Pete Hegseth a jugé « irréaliste » d’envisager un retour de l’Ukraine à ses frontières d’avant 2014, c’est-à-dire comprenant la Crimée. De même, une adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique, à l’issue de négociations de paix, n’est « pas réaliste », a-t-il dit, douchant les espoirs de Kiev. Les pays européens devront à l’avenir assurer l’« écrasante » part de l’aide civile et militaire à l’Ukraine, a-t-il encore lancé.
  • Le gouvernement allemand ne s’attend pas à une « avancée décisive » vers une solution diplomatique à la guerre en Ukraine pendant la Conférence de Munich sur la sécurité, prévue pour la fin de cette semaine, a déclaré son porte-parole, Steffen Hebestreit.
  • Le Russe Alexander Vinnik a été libéré en échange de l’Américain Marc Fogel. Le premier était visé par 21 chefs d’accusation, dont usurpation d’identité, complicité de trafic de drogue et blanchiment d’argent par la plateforme d’échange de cryptomonnaies BTC-e. Le second était condamné en juin 2022 à quatorze ans de prison pour trafic de cannabis. La Maison Blanche a également annoncé la libération de deux Biélorusses et un Américain.
20:32

La Maison Blanche annonce la libération de deux Biélorusses et un Américain

La porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, à la Maison Blanche, à Washington, DC, le 12 février 2025.

Deux personnes de nationalité biélorusse et une de nationalité américaine, qui étaient détenues en Biélorussie, ont été libérées et récupérées dans ce pays par les autorités américaines, qui les ont emmenées en Lituanie.

« C’était une opération spéciale dans laquelle nous avons passé la frontière biélorusse et sommes allés à Minsk pour rencontrer des homologues biélorusses qui nous ont amené ces trois détenus et nous les ont confiés. Nous les avons ramenés par la Lituanie. Il y a un citoyen américain parmi eux », a d’abord communiqué Chris Smith, secrétaire d’Etat adjoint chargé de l’Europe de l’Est, sur la chaîne CNN.

La porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a ensuite expliqué à la presse qu’« un Américain et deux personnes de Biélorussie, dont une travaillant pour Radio Liberty », avaient bien été libérés. Elle n’a pas précisé leurs noms.

Mais le média public américain Radio Free Europe/Radio Liberty a confirmé que l’une de ces trois personnes était un journaliste de sa rédaction, Andrey Kuznechyk, détenu en Biélorussie « depuis plus de trois ans ». Le président de ce média financé par les Etats-Unis, Stephen Capus, a, par ailleurs, dit espérer la libération prochaine d’un autre de ses journalistes, Ihar Losik, actuellement détenu en Biélorussie.

Pour Karoline Leavitt, la libération de ce citoyen américain au lendemain de celle de Marc Fogel, qui était détenu en Russie après avoir été condamné à quatorze ans de prison pour possession de drogue, est une « remarquable victoire » pour le gouvernement de Donald Trump. La Biélorussie est un proche allié de la Russie, dirigé depuis trente ans par Alexandre Loukachenko, récemment réélu sans opposition pour un septième mandat.

19:43

France, Allemagne et Espagne affirment que l’avenir de l’Ukraine ne peut se décider sans Kiev et les Européens

« Il n’y aura aucune paix juste et durable en Ukraine sans la participation des Européens », a déclaré le Français Jean-Noël Barrot, tandis que l’Allemande Annalena Baerbock et l’Espagnol José Manuel Albares Bueno assuraient qu’aucune décision sur l’Ukraine ne pouvait être prise « sans l’Ukraine », au moment où Donald Trump et Vladimir Poutine sont convenus de négociations « immédiates » sur l’Ukraine.

« Nous parlons d’un pays souverain avec un gouvernement démocratiquement élu. En outre, rien de ce qui touche à la sécurité européenne – et l’agression russe contre l’Ukraine menace directement la sécurité européenne – ne peut être décidé sans l’Europe », a mis au point M. Albares Bueno. Le ministre polonais Radoslaw Sikorski a pour sa part insisté sur la nécessité de renforcer le soutien à l’Ukraine et a prôné une « coopération transatlantique étroite ».

Les ministres s’exprimaient avant une réunion à Paris sur la défense européenne et sur l’Ukraine réunissant la France, l’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni et l’Ukraine.

Dans le même temps, à Bruxelles, le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, a clairement tracé les lignes rouges de Donald Trump concernant l’OTAN et l’Ukraine. Il a jugé « irréaliste » d’envisager un retour de l’Ukraine à ses frontières d’avant 2014, c’est-à-dire comprenant la Crimée. De même, une adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique à l’issue de négociations de paix, n’est « pas réaliste », a-t-il dit.

Volodymyr Zelensky et Donald Trump se sont appelés, rapporte Kiev

Le porte-parole de la présidence ukrainienne, Sergii Nykyforov, a confirmé d’un « oui » aux journalistes que l’entretien avec le président américain Donald Trump avait eu lieu. « Il vient de se terminer », a précisé un assistant du président ukrainien, Dmytro Lytvyn.

L’information est donnée quelques minutes après que Donald Trump a fait état d’une « conversation [téléphonique] longue et très productive » avec son homologue russe, Vladimir Poutine, au cours de laquelle tous deux sont convenus de commencer à négocier « immédiatement » sur l’Ukraine.

La conversation a été confirmée par Volodymyr Zelensky, qui fait savoir sur Telegram que le président américain l’« a informé des détails de [sa communication] avec [Vladimir] Poutine », tandis que la discussion entre les dirigeants ukrainien et américain a porté sur « sur les possibilités de parvenir à la paix (…). Nous définissons nos démarches communes avec l’Amérique pour mettre fin à l’agression russe et garantir une paix fiable et durable », a conclu M. Zelensky.

Le président américain a également rapporté son échange, qui « s’est très bien passé » avec Volodymyr Zelensky. « Comme le président Poutine, il veut faire la PAIX », a-t-il écrit sur son réseau social Truth social. « Il est temps de mettre un terme à cette guerre ridicule, qui a entraîné des morts et des destructions massives et totalement inutiles. »

18:22 Urgent

Le Kremlin fait savoir que Vladimir Poutine a évoqué avec Donald Trump la possibilité de « pourparlers de paix »

« Le président [Vladimir] Poutine a mentionné la nécessité de s’attaquer aux causes profondes du conflit et a convenu avec [Donald] Trump qu’une solution à long terme pouvait être trouvée par le biais de pourparlers de paix », a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, après que le président américain a déclaré avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue russe.

Selon lui, les deux chefs d’Etat sont convenus pendant cet entretien d’une heure et demie que « le temps était venu pour tous les pays de travailler ensemble ». « Le président russe a invité Donald Trump à se rendre à Moscou et s’est dit prêt à recevoir des responsables américains en Russie », y compris dans le cadre des efforts en vue de parvenir à la paix avec l’Ukraine, a ajouté M. Peskov, ajoutant que les deux dirigeants ont décidé de « poursuivre les contacts personnels, y compris en organisant des réunions en tête à tête ».

Au-delà de l’Ukraine, la conversation a aussi porté sur la situation au Proche-Orient, sur le dossier du nucléaire iranien et sur les relations russo-américaines dans le domaine économique, a encore dit le porte-parole du Kremlin.

18:08 Urgent

Après un échange téléphonique avec Vladimir Poutine, Donald Trump déclare que la Russie et les Etats-Unis vont commencer « immédiatement » à négocier sur l’Ukraine

Dans un message posté sur son réseau social, Truth social, le président américain a écrit qu’après avoir eu un échange téléphonique « long et très productif » avec le président russe, tous les deux sont convenus de « travailler ensemble, très étroitement, y compris en visitant [leurs] nations respectives ».

Donald Trump a aussi fait savoir que la Maison Blanche et le Kremlin ont demandé à leurs « équipes respectives d’entamer immédiatement des négociations ». Il a ajouté : « Et nous commencerons par appeler le président ukrainien, Zelensky, pour l’informer de la conversation, ce que je vais faire dès maintenant. »

Le président américain dit avoir confié les négociations au secrétaire d’Etat, Marco Rubio, au directeur de la CIA, John Ratcliffe, au conseiller à la sécurité nationale, Michael Waltz, et à l’ambassadeur et envoyé spécial, Steve Witkoff, après que « des millions de personnes sont mortes » dans un conflit « qui n’aurait pas eu lieu [s’il avait] été président », a-t-il assuré.

17:14

Les Etats-Unis confirment la libération du Russe Alexander Vinnik en échange de l’Américain Marc Fogel

Le président américain Donald Trump accueille Marc Fogel à son retour aux États-Unis après avoir été libéré par la Russie, à la Maison Blanche,  à Washington, DC, le 11 février 2025.

Washington a accepté la libération du Russe Alexander Vinnik en échange de l’Américain Marc Fogel, condamné en juin 2022 à quatorze ans de prison pour trafic de cannabis, détenu en Russie et rentré aux Etats-Unis hier, mardi, a fait savoir un responsable américain, sous couvert d’anonymat, à l’Agence France-Presse.

Alexander Vinnik, expert en informatique, avait été extradé en août 2022 de la Grèce vers les Etats-Unis, où il était visé par 21 chefs d’accusation, dont usurpation d’identité, complicité de trafic de drogue et blanchiment d’argent via la plate-forme d’échange de cryptomonnaies BTC-e.

Peu avant l’annonce, mardi, du retour aux Etats-Unis de M. Fogel, l’exécutif américain avait déclaré dans un communiqué que Donald Trump avait « négocié un échange qui montre la bonne volonté des Russes et qui signale que [les Etats-Unis vont] dans la bonne direction pour mettre fin à la guerre terrible et violente en Ukraine », sans entrer dans le détail des termes de cet échange.

17:07

Volodymyr Zelensky et le secrétaire au Trésor américain se sont rencontrés

Scott Bessent, le secrétaire au Trésor des Etats-Unis, s’est entretenu avec le président ukrainien lors de sa visite à Kiev mercredi, a fait savoir une source au sein de la présidence ukrainienne à l’Agence France-Presse (AFP). Ce déplacement dans la capitale ukrainienne constitue la première visite d’un membre de la nouvelle administration américaine en Ukraine.

Le président des Etats-Unis, Donald Trump, avait annoncé cette visite, mais s’était refusé à en donner le détail. Elle précède la rencontre entre M. Zelensky et le vice-président américain, J. D. Vance, en Allemagne vendredi, tandis que celle de l’envoyé spécial Keith Kellogg est prévue le 20 février, selon les déclarations d’une source au sein de l’administration de M. Zelensky à l’AFP, alors que Washington trace ses lignes rouges sur l’OTAN et l’Ukraine.

Lire l’entretien |

Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN : « Nous devons nous assurer qu’un éventuel accord sur l’Ukraine soit durable »

Publié aujourd’hui à 14h03 Temps de Lecture 5 min.

Le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, a déclaré que les Etats-Unis n’enverront pas de troupes en Ukraine dans le cadre d’un éventuel accord de paix, lors d’une réunion au siège de l’OTAN. Il a aussi jugé « irréaliste » d’envisager un retour de l’Ukraine à ses frontières d’avant 2014, ce qui exclut du territoire la Crimée, tout comme il a estimé « non réaliste » de songer à une adhésion de l’Ukraine à l’OTAN après un éventuel accord de paix.

Plus largement, le chef du Pentagone a fait savoir que Washington ne tolérerait plus « une relation déséquilibrée qui encourage la dépendance » au sein de l’OTAN bien que « les Etats-Unis restent engagés dans l’Alliance et en faveur du partenariat de défense avec l’Europe », a-t-il assuré.

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Le secrétaire à la défense américain juge « irréaliste » le retour aux frontières de l’Ukraine d’avant 2014

Pete Hegseth a jugé mercredi « irréaliste » d’envisager un retour de l’Ukraine à ses frontières d’avant 2014, ce qui exclut du territoire la Crimée. S’exprimant à Bruxelles, il a ajouté qu’il n’était « pas réaliste » de songer à une adhésion de l’Ukraine à l’OTAN après un éventuel accord de paix.

15:26

D’après le chef du Pentagone, il n’y aura pas de troupes américaines en Ukraine dans le cadre d’un éventuel accord de paix

Le secrétaire américain à la défense, Pete Hegseth (à gauche), serre la main du secrétaire britannique à la défense, John Healey, au siège de l’Alliance, à Bruxelles, le 12 février 2025.

Les Etats-Unis n’enverront pas de troupes en Ukraine dans le cadre d’un éventuel accord de paix, a affirmé mercredi à Bruxelles le nouveau secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, lors d’une réunion au siège de l’OTAN. « Pour être clair, dans le cadre de garanties de sécurité, il n’y aura pas de troupes américaines déployées en Ukraine », a-t-il affirmé.

15:22

Pas d’« avancée décisive » attendue à la Conférence de Munich, selon Berlin

Le gouvernement allemand ne s’attend pas à une « avancée décisive » vers une solution diplomatique à la guerre en Ukraine pendant la Conférence de Munich sur la sécurité, prévue pour la fin de cette semaine, a déclaré mercredi son porte-parole.

« En ce qui concerne la Conférence de Munich sur la sécurité, je n’ai pas reçu d’indices concrets indiquant qu’une avancée décisive pourrait se dessiner », a déclaré à la presse le porte-parole du gouvernement, Steffen Hebestreit.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, doit s’entretenir vendredi avec le vice-président américain, J. D. Vance, au cours de la Conférence de Munich, en Allemagne, où sont également annoncés l’émissaire spécial américain pour l’Ukraine, Keith Kellogg, et le secrétaire d’Etat, Marco Rubio.

Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis, les conjectures se multiplient quant à d’éventuelles négociations de paix pour mettre fin à la guerre. Le porte-parole du gouvernement allemand a réitéré la position de l’Allemagne, selon laquelle « rien ne doit être décidé par-dessus la tête des Ukrainiens, ils doivent décider comment ils entament les négociations avec la partie russe ».

« Le moyen le plus simple » d’arrêter la guerre « serait que le président russe retire ses troupes et interrompe cette campagne qui a déjà fait des centaines de milliers de morts et de blessés », a déclaré M. Hebestreit.

15:18

L’Europe devra fournir l’« écrasante » part de la future aide à l’Ukraine, selon le chef du Pentagone

Le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, a par ailleurs fait savoir mercredi que les Etats-Unis ne toléreraient plus « une relation déséquilibrée » au sein de l’OTAN.

« Les Etats-Unis restent engagés dans l’Alliance et en faveur du partenariat de défense avec l’Europe, mais les Etats-Unis ne toléreront plus une relation déséquilibrée qui encourage la dépendance », a-t-il déclaré à Bruxelles en ouverture d’une réunion du groupe de contact qui coordonne le soutien militaire à l’Ukraine.

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