
Si Fatma Hassouna est nous, que nous dit son assassinat sur nous ?
Par l’Etat d’Israël gangréné par le fascisme, les Palestinien.ne.s vivent en se préparant à mourir, comme en témoigne Fatma Hassouna qui avait anticipé sa mort qui vient d’avoir lieu, car c’est tout un peuple qui est devenu cible de guerre avec l’appui des démocraties occidentales.
Si, comme cela est clair, l’Etat israélien est en voie accélérée de se fasciser toujours plus, lesdites démocraties, par leur choix de s’en solidariser politiquement et militairement, deviennent leurs « collabos » ! Ou comment l’histoire brune européenne, par un détour dont elle a le secret (mais on peut le percer !), se rappelle à nous dans la compréhension que le fascisme d’hier comme celui d’aujourd’hui, par-dessus toutes leurs spécificités, ont en commun de pouvoir se mettre en marche parce que des pans entiers des démocraties leur pavent en conscience (ou en inconscience) leur marche vers le pouvoir. Processus de dégénérescence de la démocratie s’alimentant du néofascisme déjà installé dans le pouvoir, c’est-à-dire en Israël, en Russie, aux Etats-Unis et, à un niveau inférieur quoique avancé, en Hongrie, Slovaquie, etc.
Le nettoyage génocidaire (voir le rapport d’Amnesty International) que subit la Palestine s’inscrit dans ce schéma tragique de décomposition tendancielle des démocraties comme le montre la stupéfiante boucle qui s’est bouclée récemment avec l’accueil fait par le gouvernement israélien à Jordan Bardella et à Marion Maréchal. Accueil stupéfiant mais, à bien y réfléchir, tout logique, fait à ces deux représentants du néofascisme français, lui-même héritier du fascisme des années 30-40 du siècle dernier, puisqu’ils sont en pointe pour justifier, en « collaboration » (inversée, pour mieux « renverser », par rapport à l’antérieure) avec les démocrates de la droite française, l’anéantissement des Fatma palestiniennes, de leurs compagnons, de leurs enfants et de leurs familles entières. De la nation palestinienne.
Laisser faire en toute impunité collaborative cet assassinat de Fatma Hassouna, c’est faire de nous toutes et tous les prochaines cibles des fascismes et autres néofascismes qui progressent contre nous quand un Bardella ou une Maréchal (nous voilà) tombent dans les bras d’un Netanyahou.
Car nous sommes Fatma Hassouna.
Sa mort, elle l’a vu venir inévitable en exigeant de nous que « le monde entier en entende parler » pour que, comprenons-le ainsi, nous oeuvrions à éviter l’inévitable de notre propre mort, mort politique et plus, et pire, en tant que communauté des femmes et des hommes épris de liberté et de justice.
Ce qui passe par la réactivation d’un antifascisme internationaliste, à l’heure qu’il est, passablement engourdi dans ses capacités à décoder l’unité du nouveau fascisme qui vient… La Palestine et l’Ukraine témoignant de ce dont il est capable comme de ce dont nous sommes incapables.
Par l’Etat d’Israël gangréné par le fascisme, les Palestinien.ne.s vivent en se préparant à mourir, comme en témoigne Fatma Hassouna qui avait anticipé sa mort qui vient d’avoir lieu, car c’est tout un peuple qui est devenu cible de guerre avec l’appui des démocraties occidentales.
Si, comme cela est clair, l’Etat israélien est en voie accélérée de se fasciser toujours plus, lesdites démocraties, par leur choix de s’en solidariser politiquement et militairement, deviennent leurs « collabos » ! Ou comment l’histoire brune européenne, par un détour dont elle a le secret (mais on peut le percer !), se rappelle à nous dans la compréhension que le fascisme d’hier comme celui d’aujourd’hui, par-dessus toutes leurs spécificités, ont en commun de pouvoir se mettre en marche parce que des pans entiers des démocraties leur pavent en conscience (ou en inconscience) leur marche vers le pouvoir. Processus de dégénérescence de la démocratie s’alimentant du néofascisme déjà installé dans le pouvoir, c’est-à-dire en Israël, en Russie, aux Etats-Unis et, à un niveau inférieur quoique avancé, en Hongrie, Slovaquie, etc.
Le nettoyage génocidaire (voir le rapport d’Amnesty International) que subit la Palestine s’inscrit dans ce schéma tragique de décomposition tendancielle des démocraties comme le montre la stupéfiante boucle qui s’est bouclée récemment avec l’accueil fait par le gouvernement israélien à Jordan Bardella et à Marion Maréchal. Accueil stupéfiant mais, à bien y réfléchir, tout logique, fait à ces deux représentants du néofascisme français, lui-même héritier du fascisme des années 30-40 du siècle dernier, puisqu’ils sont en pointe pour justifier, en « collaboration » (inversée, pour mieux « renverser », par rapport à l’antérieure) avec les démocrates de la droite française, l’anéantissement des Fatma palestiniennes, de leurs compagnons, de leurs enfants et de leurs familles entières. De la nation palestinienne.
Laisser faire en toute impunité collaborative cet assassinat de Fatma Hassouna, c’est faire de nous toutes et tous les prochaines cibles des fascismes et autres néofascismes qui progressent contre nous quand un Bardella ou une Maréchal (nous voilà) tombent dans les bras d’un Netanyahou.
Car nous sommes Fatma Hassouna.
Sa mort, elle l’a vu venir inévitable en exigeant de nous que « le monde entier en entende parler » pour que, comprenons-le ainsi, nous oeuvrions à éviter l’inévitable de notre propre mort, mort politique et plus, et pire, en tant que communauté des femmes et des hommes épris de liberté et de justice.
Ce qui passe par la réactivation d’un antifascisme internationaliste, à l’heure qu’il est, passablement engourdi dans ses capacités à décoder l’unité du nouveau fascisme qui vient… La Palestine et l’Ukraine témoignant de ce dont il est capable comme de ce dont nous sommes incapables.
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