ET UNE DE PLUS !
LA GENERATION Z FAIT TOMBER DINA BOLUARTE LA PRÉSIDENTE PUTSCHISTE DU PÉROU
Ce 10 octobre, le Congrés péruvien a destitué la présidente Dina Boluarte qui était arrivée au pouvoir par un putsh en décembre 2022 soutenu par ce même congrès, l’armée et l’extrême-droite contre le président de gauche légitimement élu en 2021, Pedro Castillo.
Le Congrés a changé son fusil d’épaule et a démis celle qu’il avait amené au pouvoir parce que le peuple péruvien ne cesse depuis plus de deux ans de multiplier les grèves et les manifestations pour tenter de faire tomber la putschiste et que ces derniers jours la jeunesse, additionnée des transporteurs, a donné un nouvel élan à la révolte pour renverser la putschiste appuyée sur l’extrême-droite. Or la jeunesse et toutes les forces d’opposition au Pérou appelaient ensemble à une grève générale le 15 octobre qui pouvait bien signer la fin de la présidente putschiste détestée par la population. Aussi par sa manœuvre, le congrès espère dégonfler la grève du 15. Ça ne semble pas avoir marché puisque immédiatement, les organisations de la Gen Z, voyant la manœuvre mais encouragés aussi par la chute de la présidente, ont appelé à durcir la mobilisation dés le 12 octobre pour rejeter le nouveau chef de gouvernement, José Jerí Oré, chosi par le Congrés, pour marquer ce qu’ils veulent être le début d’une vague de mobilisations qui culminera avec la grève générale, blocage national du 15 octobre, auquel se sont déjà associés les transporteurs et les universitaires. Les nouvelles générations ne reconnaissent pas Jerí comme président légitime et leur lutte vise à « redonner le pouvoir au peuple et redonner de la dignité au Pérou ».
LA GENERATION Z FAIT TOMBER DINA BOLUARTE LA PRÉSIDENTE PUTSCHISTE DU PÉROU
Ce 10 octobre, le Congrés péruvien a destitué la présidente Dina Boluarte qui était arrivée au pouvoir par un putsh en décembre 2022 soutenu par ce même congrès, l’armée et l’extrême-droite contre le président de gauche légitimement élu en 2021, Pedro Castillo.
Le Congrés a changé son fusil d’épaule et a démis celle qu’il avait amené au pouvoir parce que le peuple péruvien ne cesse depuis plus de deux ans de multiplier les grèves et les manifestations pour tenter de faire tomber la putschiste et que ces derniers jours la jeunesse, additionnée des transporteurs, a donné un nouvel élan à la révolte pour renverser la putschiste appuyée sur l’extrême-droite. Or la jeunesse et toutes les forces d’opposition au Pérou appelaient ensemble à une grève générale le 15 octobre qui pouvait bien signer la fin de la présidente putschiste détestée par la population. Aussi par sa manœuvre, le congrès espère dégonfler la grève du 15. Ça ne semble pas avoir marché puisque immédiatement, les organisations de la Gen Z, voyant la manœuvre mais encouragés aussi par la chute de la présidente, ont appelé à durcir la mobilisation dés le 12 octobre pour rejeter le nouveau chef de gouvernement, José Jerí Oré, chosi par le Congrés, pour marquer ce qu’ils veulent être le début d’une vague de mobilisations qui culminera avec la grève générale, blocage national du 15 octobre, auquel se sont déjà associés les transporteurs et les universitaires. Les nouvelles générations ne reconnaissent pas Jerí comme président légitime et leur lutte vise à « redonner le pouvoir au peuple et redonner de la dignité au Pérou ».
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