Une république quui sent mauvais….

Les applauses que Nico recoit dans son restaurant chicos nous dit tout de cette bourgeoisie, si prompte à dénoncer l’immoralité des gueux et des pauvres s’ils osent piquer dix euros pour bouffer, mais toujours prête à s’agenouiller devant le riche malfrat bien fringué… La servilité devant la force qui caractérise exactement la mentalité de l’esclave telle qu’elle fut décrite par Nietzsche pour caractériser la culture idéaliste occidentale… Pleine de bons sentiments dans les mots mais d’une uauté barbare dans les actes..
cr.
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