» Le flot d’accusations et de preuves accablantes contre Trump se transforme en torrent, et les éléments qui convergent laissent clairement entendre que l’étendue des crimes de Donald Trump est bien plus profonde que nous ne le pensions. »
PLUS LES DOSSIERS EPSTEIN SORTENT, PLUS CA DEVIENT HORRIBLE ET PLUS TRUMP EST IMPLIQUÉ
Bien que la procureur générale Pam Bondi ait fait censurer tous les documents où figuraient le nom ou la photo de Trump ( ce qui représente des centaines et des centaines de pages !!) beaucoup de choses sortent et on voit comme l’écrit le New York Times qu’Epstein n’était pas un simple connaissance de Trump, mais son bras droit (Trump a déclaré aujourd’hui que le New York Times est un ennemi du peuple et qu’il fallait le traiter en conséquence !).
Le scandale du Watergate est largement dépassé
Le média « Occupy démocrats » a publié par exemple aujourd’hui deux lettres d’échange d’Epstein à un de ses amis pédophiles (condamné à 100 ans de prison) où il se plaignent d’être en prison alors que leur ami Trump, qui a fait comme eux, est pourtant président (1ere présidence Trump).
Et voilà ci dessous le second texte qu’ils publient aujourd’hui. Un nouveau document choquant du FBI accuse Trump d’avoir violé une femme avec Epstein, retrouvée morte plus tard dans des circonstances suspectes ! Le mot CENSURE figure quand ça été éffacé par le FBI sous les ordres de la procureure générale (procureure générale qui va être poursuivie par une commission sénatoriale en vue de la destituer pour ces censures).
« Une nouvelle publication horrifiante des dossiers Epstein contient des allégations extrêmement troublantes contre le président des États-Unis, Donald Trump, et son ancien « meilleur ami », Jeffrey Epstein, le pédophile notoire. Le document du FBI indique :
« Alors que [CENSURÉ] évoquait sa rencontre avec Donald Trump, [CENSURÉ] a immédiatement [CENSURÉ] affiché une froideur glaciale lorsqu’il a déclaré : “Il m’a violée.” [CENSURÉ] a demandé : “Quoi ?” et [CENSURÉ] a répondu : “Donald J. Trump l’a violée avec Jeffrey Epstein.” [CENSURÉ] a précisé qu’une fille au nom étrange l’avait “emmenée dans un hôtel ou un immeuble de luxe, c’est comme ça que ça s’est passé.”
On peut supposer que cette femme au “nom étrange” était Ghislaine Maxwell, la compagne d’Epstein et principale trafiquante sexuelle.
Mais le pire est à venir.
« [CENSURÉ] a conseillé à [CENSURÉ] d’appeler la police au sujet de l’incident, mais [CENSURÉ] a déclaré : “Je ne peux pas, ils vont me tuer.” Le jour de Noël, [CENSURÉ] a contacté [CENSURÉ] qui a affirmé avoir effectivement appelé la police pour signaler leur conversation. » [CENSURÉ] a dit à [CENSURÉ] qu’elle avait « bien agi ». [CENSURÉ] n’a plus eu de nouvelles de [CENSURÉ] ni de [CENSURÉ] jusqu’au 1er octobre 2000.
[CENSURÉ] a contacté [CENSURÉ] pour lui annoncer que [CENSURÉ] était décédée et a précisé qu’elle avait été retrouvée la tête arrachée à Kiefer, dans l’Oklahoma. Les policiers présents sur les lieux et [CENSURÉ] ont affirmé qu’il était impossible qu’il s’agisse d’un suicide. Le médecin légiste a conclu à un suicide. [CENSURÉ] a déclaré par la suite que [CENSURÉ] s’était suicidée car [CENSURÉ] s’était procuré de la cocaïne auprès d’un cartel mexicain. [CENSURÉ] pense que ce meurtre sert de couverture à Ghislaine. Ces informations semblent provenir d’un renseignement transmis au FBI le 27 octobre 2020, lors du procès de Ghislaine Maxwell. Le flot d’accusations et de preuves accablantes contre Trump se transforme en torrent, et les éléments qui convergent laissent clairement entendre que l’étendue des crimes de Donald Trump est bien plus profonde que nous ne le pensions.
Une enquête complète et exhaustive devrait être la priorité absolue du prochain Congrès. »
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