L’EPIDEMIE (MEDIATIQUE) DE COVID-19 REVÈLE LE MILLE-FEUILLES SANITAIRE FRANCAIS

Il y a une réalité indéniable : chaque jour dans les médias mainstream, depuis le début de cette crise organisée (par les pouvoirs publics, la haute médecine et les médias en faillite, donc redevables de la manne gouvernementale), nous subissons le feu de ces agences de « santé », directeurs de la « santé », responsables de la « santé » qui tous, on dit bien tous, tirent dans le même sens….
L’EPIDEMIE (MEDIATIQUE) DE COVID-19 REVÈLE LE MILLE-FEUILLES SANITAIRE FRANCAIS
Il y a une réalité indéniable : chaque jour dans les médias mainstream, depuis le début de cette crise organisée (par les pouvoirs publics, la haute médecine et les médias en faillite, donc redevables de la manne gouvernementale), nous subissons le feu de ces agences de « santé », directeurs de la « santé », responsables de la « santé » qui tous, on dit bien tous, tirent dans le même sens qui n’est pas la santé des Français mais bien l’intérêt des organisations concernées.
Le Haut [1] Conseil scientifique, la Haute Autorité de santé, tout ça sent le CSA, l’INA, c’est-à-dire des entités où des petits amis des lobbies au pouvoir sont casés ou recasés, grassement payés et protégés. Souvenez-vous de l’édifiante affaire Agnès Saal à l’INA, ou des frasques SM du PDG de Radio France Jean-Paul Cluzel et ses 410 000 euros de frais de taxi, sans compter la limousine.
Effectivement, le président du Conseil scientifique, invité sur LCI pour foutre la trouille aux Français, commence à délirer complètement dans sa mission de lanceur de psychose :
« On va rentrer dans une gestion du risque, en acceptant ce risque. Il y aura d’autres contaminations, à l’école, au travail, on devra vivre avec. Cela veut dire qu’il ne faudra pas précipiter les fermetures d’écoles ou d’entreprises, tout en veillant à ce qu’il reste des places disponibles dans les services de réanimation. Il faudrait par exemple plutôt fermer une classe que toute une école. (…) Il faut aussi poursuivre la stratégie de télétravail, et peut-être même l’accentuer sur les quatre mois qui viennent, qui seront les plus difficiles. »
De ces métastases administratives publiques il ne sort rien de bon, la production y est maigre mais la communication et les détournements (en salaires de branleurs) riches. Ceux qui ont eu affaire au début de la crise des masques et des gants aux Agences régionales de santé savent de quoi on parle.
Ubuesque ! Cette épidémie a fait découvrir que nous avions en France :
– Le ministre de la Santé
– Le directeur général de la Santé
– La direction de Santé publique France
– Le directeur de la Haute Autorité de santé
– les directeurs des Agences régionales de santé (ARS)
– Le directeur de l’Agence nationale sanitaire
– la direction de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé : Épidémiologie-France
– Le Centre national de recherche scientifique en virologie moléculaire
– L’Agence nationale de sécurité du médicament et de la santé
– Un nombre d’infectiologues parisiens incroyablement et anormalement élevé, probablement lié au fait que les virus et bactéries descendent de l’avion à CDG et ouvrent leur siège social près de la place de l’étoile
Mais comme tout cela ne suffit toujours pas : suite à cette épidémie, nos chers politiques, monstres d’efficacité, de pragmatisme, toujours soucieux d’économiser les finances publiques, vont créer :
– le Haut Commissariat de lutte contre les épidémies
– Le Haut Conseil de veille sanitaire
– L’Agence nationale de sécurité de logistique médicale .
– 5 000 fonctionnaires en plus (et les petits copains à placer) et où ça ? : à Paris, évidemment !
La prochaine fois, on aura peut être des masques mais il va manquer les gants ! La médecine française croule en effet sous « l’administratif centralisé », géré par des technocrates dits experts, mais totalement incompétents !
Alors, SVP, faites vite votre déclaration d’impôts : il va falloir payer grassement tout ce petit monde ! On compte sur vous.

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