[VIDEO] Debriefing Dr Kory : « Ivermectine : nous avons un traitement qui marche ! »

LR: FranceSoir est un site complotiste mais …

Publié le 10/12/2020
Dr Pierre Kory
FS
  • Auteur(s): FranceSoir
Un Debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Nous recevons aujourd’hui le Dr Pierre Kory, médecin urgentiste américain qui a témoigné au Sénat de son pays lors des auditions de la commission d’enquête. sur les traitements en phase précoce. Cela fait suite aux debriefings avec le Sénateur Johnson et le Dr Harvey Rish, puis avec le Pr Peter McCullough qui ont aussi témoignés devant le Sénat américain, implorant les autorités sanitaires d’écouter et de mettre en place un traitement en phase précoce.

Pierre Kory revient de manière très vivante et émouvante sur ce qu’il a vécu avec les patients, les autopsies. Il nous présente l’étude qu’il a effectuée avec des médecins internationaux (norvégiens, italiens, argentins, britanniques) réunis dans l’association FLCCC (Front Line Covid-19 Critical Care Alliance) :

PROPHYLAXIE ET PROTOCOLE DE TRAITEMENT AMBULATOIRE PRÉCOCE POUR LA COVID‑19

Outre sa vision de la pandémie et de la gestion de la crise, il évoque en longueur l’étude faite sur l’ivermectine, un traitement crucial selon lui en phase précoce. L’ivermectine est une possibilité de traitement qui ne recueille que le silence assourdissant des médias francais, comme l’avait noté le Collectif citoyen.

Quand ce n’est pas carrément de la désinformation stupéfiante, relevée ici sur Twitter :

Retrouvez le debriefing du Dr Pierre Kory :

https://youtu.be/blpV5QDJrn4

Transcription

Bonjour Pierre Kory, vous êtes médecin, vivant aux Etats-Unis, de mère française, vous parlez un peu français donc nous allons commencer l’interview en français avant de poursuivre en anglais. Merci de nous donner du temps, je sais qu’il est tôt aux Etats-Unis, nous allons couvrir divers sujets, votre point de vue sur l’épidémie, les patients, c’est très important de parler d’eux, les collaborations que vous avez pu monter, les traitements et leurs résultats, et nous finirons en évoquant le partage de l’information et de la connaissance avec d’autres médecins, qui est peut-être encore une barrière pour prescrire en phase précoce. Peut-être pouvez-vous commencer par vous présenter ?

Merci, merci pour l’introduction, je commence en français alors, ma mère va être très fière si je parle français pendant l’interview. Le problème est que mon français n’est pas parfait, alors je change pour l’anglais, ok ? Donc merci pour la présentation, je suis comme vous, nous vivons tous dans cette période où nous sommes tous consumés par la pandémie, la différence est qu’en tant que médecin – je suis médecin en unité de soins intensifs et pneumologue, c’est ce dont il est question avec cette maladie, elle attaque les poumons et elle fait mourir les gens, et donc ma vie entière a été consumée comme beaucoup d’autres par cette maladie, Et tout ce que j’ai fait, c’est ce dont j’ai parlé hier, c’est travailler avec mes collègues et vous avez mentionné que nous ne sommes pas seulement américains, si vous regardez notre groupe, sur notre site, l’organisation que nous avons montée, nous avons des collègues de Norvège, du Royaume-Uni, Paul Marik est d’Afrique du sud, Umberto Meduri est d’Italie, nous nous sommes fortement appuyés sur Umberto au début, parce que nous apprenions de nos confrères en Italie, alors que nous voyions cette chose approcher, nous avons parlé à tout le monde, nous avons contacté les gens en Chine, donc n’avons rien fait d’autre que de tenter de collaborer avec ceux qui sont aussi plongés dans cette pandémie.

J’ai vu votre témoignage hier devant le Sénat, qui était vibrant, clairement, la pandémie est un sujet pour les patients, pouvez-vous nous parler de l’état d’esprit de vos patients, que vous connaissez, d’abord durant la première partie de l’année, et maintenant ?

Vous savez, je suis un médecin de soins intensifs, et quand vous parlez de l’état d’esprit, au moment où ils arrivent à moi, ce n’est plus pour une gorge irritée, ou une toux, ou un petit mal de tête, ou de la fièvre… C’est une maladie complètement différente, où les poumons sont défaillants, et ils développent une insuffisance respiratoire, et ils ne peuvent pas respirer, ils ne peuvent pas respirer ! Et c’est à ce moment-là qu’ils viennent à moi parce parce que  l’oxygénation légère devient insuffisante, ils ont besoin d’appareils à haut débit d’oxygène, soit des ventilateurs non invasifs, soit nous avons besoin d’endormir des patients, nous leur donnons des sédatifs pour les assommer et les mettre sous ventilation mécanique, et après cela ils sont dans un coma artificiel, et fréquemment ils sont paralysés, parce qu’il ne faut surtout pas qu’ils bougent, ni faire quoi que ce soit qui risquerait de les désynchroniser, avec leur respirateur artificiel, c’est vraiment une vision d’horreur.

C’est tout ce que je fais, m’occuper des patients covid-19 qui meurent, parce que leurs poumons sont défaillants. Et nous avons des thérapies qui fonctionnent, nous sauvons des vies, mais c’est rare. Si vous êtes plus âgé, si vous êtes en surpoids, si vous êtes afro-américain ou hispanique, les taux de décès sont tout simplement trop élevés.

Nos personnes âgées et nos minorités et même au-delà, tout le monde en meurt, c’est trop ! C’est une horrible, horrible maladie à traiter et je pense que je suis à peu près aussi expert que quiconque parce que c’est tout ce que j’ai fait, c’est tout ce que j’ai fait depuis le début, essayer de comprendre cette maladie avec mon groupe. Et je veux continuer à rappeler que toute opinion que je partage est celle du groupe, dont vous avez parlé, un groupe national et international de médecins, nous sommes tous experts des soins intensifs et nous n’avons fait que partager des articles scientifiques, lire des articles, interpréter des articles et essayer de les appliquer dans des protocoles de soins au chevet du patient. C’est tout ce que nous avons, fait nous ne cherchons pas une thérapie basée sur une nouveauté pharmaceutique, nous prescrivons ce que nous connaissons et nous voyons ce qui fonctionne.

Et je pense que nous sommes devenus vraiment bons pour traiter cela, cependant, en unité de soins intensifs, c’est trop tard ! Nous savons comment traiter, mais il est trop tard, nous échouons à soigner un trop grand nombre de patients, nous avons besoin que nos collègues traitent PLUS TÔT, nous avons besoin de quelque chose qui fonctionne PLUS TÔT et nous avons quelque chose ! J’ai témoigné hier, le monde a besoin de commencer à utiliser l’ivermectine dès les premiers symptômes. Si cela se produit, ils ne viendront plus me voir en réanimation. Ils ne rempliront plus nos réanimations et ils ne mourront plus sous respirateur.

Et donc ce n’est que de l’ivermectine, ou est-ce une combinaison de médicaments que vous utilisez ?

C’est une excellente et légitime question ! Tous nos protocoles, nous en avons deux et si vous allez sur notre site web qui est flccc.net, c’est une organisation à but non lucratif que nous avons formée, en essayant de comprendre et de traiter cette maladie. Nous avons deux protocoles : l’un est pour l’hôpital, l’autre est pour la prévention (prophylaxie) et le traitement précoce, comme vous l’avez mentionné, ceux sont, tous les deux, des protocoles thérapeutiques basés sur des combinaisons. Nous utilisons un certain nombre de médicaments en combinaison, nous pensons qu’ils sont tous essentiels.

La raison pour laquelle je me concentre sur l’ivermectine, c’est à cause des données derrière l’ivermectine. Pour les autres nous avons des données associées qui montrent qu’ils fonctionnent et qu’ils sont essentiels, donc des choses comme la vitamine D, la vitamine C, le Zinc, la Quercétine, l’aspirine, nous pensons qu’ils sont essentiels, d’après notre connaissance de cette maladie, nous avons des tonnes d’études montrant que si vous êtes déficient en vitamine D, vous allez mourir de la covid avec un taux beaucoup plus élevé que ceux qui ne le sont pas. Il est donc essentiel d’optimiser vos concentrations en vitamines dans le corps afin de vous préparer contre cette maladie. Nous ne remettons pas en question cela. Cependant la raison pour laquelle je parle (principalement) d’ivermectine, c’est parce que cela semble être un médicament miracle, cela ne semble pas, c’est la réponse à la pandémie ! Il arrête absolument la réplication virale ! C’est un médicament antiviral incroyablement puissant. Et notre protocole sur la prophylaxie et le traitement précoce a été créé, presque uniquement, en raison des preuves derrière l’ivermectine, les autres molécules que nous avions recommandées depuis longtemps, cela avait du sens

sur le papier, il y avait une bonne justification, mais nous n’avions pas de preuves cliniques. Alors que les preuves en faveur de l’ivermectine sont écrasantes : nous avons 11 essais contrôlés randomisés à différentes phases de la maladie ! Et pourquoi je dis que c’est un médicament miracle ? Ce qui est incroyable avec l’ivermectine, c’est qu’elle fonctionne tôt au milieu et tardivement dans la maladie, cela fonctionne même encore à l’hôpital. Et vous devez comprendre quelque chose à propos de cette maladie : le virus n’est pas ce qui nous tue, c’est la réponse au virus. Les gens à l’hôpital ont une réaction inflammatoire à cause de l’ARN viral, les débris de ce virus sont à l’origine de cette réaction, nos poumons s’enflamment, ils sont submergés par l’inflammation et notre objectif à l’hôpital est donc de contrôler l’inflammation.

Et la chose qui nous a choqués, rendus tristes et surpris à la fois, c’est que l’ivermectine semble être un ANTI-INFLAMMATOIRE extrêmement puissant. Ses propriétés antivirales ne peuvent pas expliquer pourquoi cela fonctionne à l’hôpital. Nous savons que, une fois à l’hôpital, ce n’est pas une maladie virale. Tout le monde le pense, mais nous savons que ce n’est pas le cas, si vous regardez les autopsies, une revue montre que dans moins de 20% des cas il y a, ce que nous appelons « des dommages directs cytopathiques » du virus.

Vous pouvez trouver de l’ARN viral, mais vous ne trouverez pas de virus « attaquant » le tissu pulmonaire, c’est uniquement de l’inflammation.
Mais l’ivermectine fonctionne encore aux phases tardives inflammatoires. Mais les données les plus solides, les données les plus importantes, concernent les personnes qui prennent le médicament AVANT de tomber malade, si vous prenez de l’ivermectine, vous ne contracterez PAS la Covid-19. C’est mon message au monde.

Nous avons quatre essais montrant cela. Tous les quatre sont randomisés. Le plus grand (d’entre eux), j’en ai parlé hier. Le Dr Héctor Carvallo et son équipe, le chercheur principal sur les essais ivermectine en Argentine, ont fait une étude au début de l’été et c’est là encore une fois quelque chose de tragique, c’est que je parle de cela en décembre ! Nous ne pouvons plus diffuser les bonnes informations. Je ne comprends pas, nous en avons parlé, et vous avez parlé de ce que vous avez fait avec FranceSoir, en essayant d’obtenir de bonnes informations et de faire le tour du monde pour essayer de trouver ces informations, je ne comprends pas le monde, il y a de très bonnes informations que nous pourrions propager et nous n’arrivons pas à les sortir, il y a une sorte de monopole des grandes institutions de santé.

Et je comprends en partie pourquoi, c’est parce que vous ne pouvez pas laisser la désinformation, mais le problème en attaquant la désinformation, est que vous supprimez également de bonnes informations. Je n’ai pas de réponse sur comment cela se fait, mais accorder un monopole à nos agences officielles de santé, qu’elles soient les seules dépositaires ou diffuseurs d’informations sur la santé, cela nous a fait un mal incroyable ! Incroyable. Alors j’apprécie votre mission et ce que vous avez essayé de faire. C’est à dire de chercher de bonnes informations, en ne vous reposant pas seulement sur nos autorités, nous savons que nos autorités ont échoué à plusieurs reprises. Ont-elles fait un grand bien ? Oui elles l’ont déjà fait. Mais elles ne sont pas parfaites et je ne dis pas non plus que mon groupe est parfait, tout ce que je sais, c’est que mon groupe a travaillé extrêmement dur.

Revenons donc à l’ivermectine, j’ai besoin de parler de l’étude d’Héctor Carvallo. Oui, je pense que c’est important les résultats, oui. C’est presque incroyable ce qu’ils ont trouvé ! Écoutez, je suis médecin, j’ai lu des articles toute ma carrière, j’ai utilisé des thérapies toute ma carrière et je connais les preuves derrière de nombreuses thérapies. Je n’ai jamais entendu parler ou écrit un article comme celui que mon groupe a écrit où il y a une thérapie qui est si systématiquement, et de façon aussi reproductible, bénéfique à toutes les étapes de la maladie. Je n’ai vu une thérapie qui s’appuie sur une montagne de preuves comme celle de l’ivermectine, et l’exemple le plus frappant est celui de cette étude : en Argentine ils ont recruté du personnel soignant. Il y avait pratiquement 1200 volontaires pour l’étude, à 800 d’entre eux ils ont donné de l’ivermectine, 12 mg une fois par semaine.

Ils leur ont dit « prenez cette pilule une fois par semaine », ils l’ont fait pendant 10 semaines, 800 soignants. L’autre bras avait un peu plus de 400 soignants, ils ne leur ont pas donné d’ivermectine. Après la période de 10 semaines pas une seule personne, pas un seul soignant qui avait pris de l’ivermectine n’a eu la covid-19, pas un ! Dans le groupe de 407, 237 ont eu la covid-19 ! 58% de ce groupe ont eu la covid, ces soignants ont eu la covid. Cela n’a pas été mentionné dans l’étude, mais je peux vous assurer qu’il y a eu des morts. Cela montre juste la protection, presque parfaite, de l’ivermectine contre cette maladie. Elle inhibe la capacité du virus à attaquer et à se répliquer. L’ivermectine l’empêche de fonctionner.

Et Pierre, avez-vous contrôlé cette étude pour les facteurs de confusions dont vous aviez parlé plus tôt, tels que le diabète, l’obésité, le surpoids ou l’âge ?

Donc dans cette étude, nous confirmons cela avec le Dr Carvallo, mais elle est randomisée, donc vous n’avez pas besoin de contrôler ces facteurs de confusion. Le même nombre de personnes, leur âgen leurs comorbidités, étaient réparties, de façon égale, entre les groupes. Et c’est pourquoi je souligne dans mon témoignage, que ce n’est pas seulement une étude dont nous parlons. Et ce n’est pas une étude observationnelle. Cela dit les études observationnelles bien conçues sont équivalentes aux randomisées, je ne suis pas ici pour dire que vous avez besoin d’un essai contrôlé randomisé. Je vais vous dire cependant que le monde et le domaine de la médecine sont convaincus que vous avez besoin

d’essais randomisés afin de découvrir une vérité scientifique. Ce qui est faux! Ce n’est pas vrai ! Les essais observationnels sont excellents pour détecter les avantages, mais je ne veux pas parler de ça. Dans mon manuscrit, nous avons 11 essais contrôlés randomisés. Tous montrant la même chose que les essais observationnels. Chaque essai montre : une réduction de la transmission, une réduction du nombre de cas, une réduction du besoin d’hospitalisation et une réduction des décès, toutes statistiquement très significatives.

Bien. Je veux dire que c’est une merveilleuse nouvelle ! Et à quel point est-ce que ce traitement ou cette approche que vous avez trouvée est utilisé ? Je veux dire, avez-vous des difficultés à partager ces connaissances avec les médecins ou les autorités ?

Nous en sommes très tôt dans le processus, le manuscrit a été écrit Il y a dix jours seulement, mon collègue le Dr Paul (Ellis) Marik, qui était vraiment le leader intellectuel de notre groupe et c’est un ami proche, et nous travaillons et nous nous appelons cinq fois par jour, je pense que nous nous parlons plus, que nous ne parlons à nos femmes, surtout pendant cette pandémie. Il a fait une conférence sur sa chaîne YouTube à propos de ce qu’il a découvert sur l’ivermectine. Je crois que c’était il y a un mois. Mais comme vous l’avez évoqué et comme nous en parlons maintenant, la diffusion de l’information est très très difficile. Alors j’ai écrit le manuscrit, il y a environ 10 jours et je l’ai révisé plusieurs fois depuis. Je l’ai soumis à une revue pour un examen par les pairs et je dois vous dire qu’il a été rejeté par les éditeurs. Parce qu’ils ont estimé que ce n’était pas d’une importance et d’un intérêt suffisant pour leur lectorat.

Donc vous n’avez pas d’éditeur pour ça ?

Pas encore, non, mais ça va être publié, ça va l’être, je veux dire écoutez, j’ai publié des articles dans ma carrière. Le fait qu’un éditeur regarde quelque chose et ne pense pas qu’il soit intéressant et le rejette, c’est extrêmement courant. Cela ne va pas nous décourager. C’est ce que je disais. Oui, quand vous essayez de publier un article, il est très courant que vous deviez tenter plusieurs revues, j’ai mentionné cet incident parce que je ne peux pas penser à un article plus important auquel j’aie jamais participé dans toute ma carrière ! Et pourtant je vois, que malgré ça, il est rejeté. Publier pendant la pandémie est presque impossible. Les journaux eux-mêmes et je ne veux pas les blâmer, reçoivent des millions de soumissions. Tout le monde écrit un article et c’est encore une fois le problème, c’est qu’il y a tellement de bruit et si peu de gens écoutent. Donc être un groupe de médecins, qui ont découvert une montagne de preuves, sur un médicament très efficace, et ne pas pouvoir publier ce document du premier coup… c’était prévisible. Mais là vous m’avez demandé si nous l’utilisions. Eh bien non.

Et je vais vous dire pourquoi, donc c’est récent, l’information est récente et je pense que beaucoup de choses ont changé au cours des dernières 24 heures. Mon témoignage, sur certains sites, apparemment, a fait près d’un million de vues. Et donc je pense, j’espère que beaucoup ont été menés vers notre manuscrit et que beaucoup de gens l’ont lu. Il est sur notre site web, c’est un manuscrit sérieux et il est écrit par des médecins parmi les plus publiés dans le monde. Encore une fois, le groupe dont je fais partie, nous totalisons près de 2000 publications évaluées par des pairs, nous ne sommes pas un médecin lambda qui dit qu’il a trouvé un remède au hasard. C’est une conclusion, minutieusement étudiée, et basée sur des preuves solides, à laquelle nous sommes parvenus. Mais c’est récent et comme je vous l’ai dit, je n’ai pas encore pu le publier dans une revue à comité de lecture. Nous l’avons diffusé sur notre site Web, et nous l’avons diffusé auprès de nos collègues, et il est utilisé. Et voici le truc fou : il est utilisé dans de nombreuses régions du monde, par exemple dans l’Uttar Pradesh, un État du nord de l’Inde de 210 millions d’habitants. 210 millions d’habitants ! Cette région en Inde a dans ses recommandations sanitaires, de distribuer l’ivermectine à sa population, c’est aussi dans les recommandations en Égypte et dans de nombreuses régions d’Amérique du Sud, dont certains états du Mexique, au Pérou et au Paraguay, ils l’utilisent régulièrement et nous avons des données de ces régions qui montrent une chute spectactulaire du nombre de cas covid et des décès. Tout est dans notre article. Nous avons des épidémiologistes qui ont examiné le nombre de cas dans les régions du monde qui utilisent l’ivermectine et les décès et le nombre de cas approchent des niveaux « pré-pandémiques », c’est un remède, point barre ! C’est un remède. Nous avons les données, c’est un médicament sûr.

Et parmi les pays, y a-t-il un pays européen ? Vous avez parlé de votre coopération avec l’Italie et la Norvège et la Grande-Bretagne ?

Non, non, non. L’ivermectine, même dans les pays où elle est utilisée, donc si vous regardez ce qui se passe dans les pays d’Amérique du sud où elle est largement utilisée, c’est un médicament très courant, les ministères de la Santé de ces pays ne la recommandent pas. Ils ne croient pas que cela fonctionne, ils ne le croient pas – cela fonctionne et je pense que l’une des raisons pour lesquelles ils n’y croient pas, et je ne dirais pas que je connais parfaitement ce que je vais dire mais, il ressort des rapports, dans de nombreuses régions du Pérou, que l’ivermectine est en fait distribuée par des bénévoles, non-médecins, qui savent que cela sauve des vies et qui la distribuent aux citoyens. Et dans ces régions, les gens ne meurent pas et ne tombent pas malades. Mais les médecins sont contre eux, je veux dire je suis médecin, je suis censé vous traiter, vous, vous ne pouvez pas vous soigner.

Les médecins ont toute autorité médicale, alors entendre que des volontaires distribuent un médicament qui n’a aucune preuve, du moins en apparence, suggérant que cela fonctionne… En fait ça fonctionne ! Je vais vous dire, ces volontaires le font pour une bonne raison, je pense qu’ils le font parce qu’ils savent que ça aide. Ils savent que ça marche. J’ai des collègues et des gens qui ont soutenu notre organisation qui ont des amis et des contacts au Pérou qui savent que l’ivermectine est presque complètement efficace, ils le savent depuis des mois, ils le savent depuis des mois ! Si vous parlez à une personne au hasard, dans certaines de ces régions du Pérou, ils savent que si vous prenez de l’ivermectine, vous ne tombez pas malade.

Alors vous posez des questions sur l’Europe ? Ce n’est pas recommandé en Europe. Ils ne connaissent pas les données, et c’est pourquoi hier dans mon pays, les États-unis d’Amérique, nous avons vu nos leaders de la santé, tout comme en France, échouer à trouver une solution à cela. Ils ont échoué. Ils ont échoué ! Et ils n’ont pas de groupe de travail chargé d’examiner la recherche et la réutilisation de médicaments existants, qui pourraient s’avérer efficaces. Et encore une fois, l’hydroxychloroquine est en réalité une tragédie, parce qu’elle a aussi, comme l’ivermectine, un rationnel pour son utilisation. Nous pensons qu’elle aurait peut-être fonctionné et vous savez quoi ? L’hydroxychloroquine fonctionne en fin de compte ! Elle fonctionne un peu, cela ne fonctionne pas aussi efficacement que nécessaire et il n’y a aucune comparaison avec l’efficacité de l’ivermectine. Mais il s’agit d’un repositionnement de médicament et elle est extrêmement controversée.

Je ne sais pas ce qu’il en est en France, mais ici en, Amérique c’est devenu très politique. Et on avait l’impression que la droite croyait à l’hydroxychloroquine, quand la gauche n’y croyait pas et c’est devenu fou. Notre ivermectine n’a rien à voir avec l’hydroxychloroquine en termes d’efficacité. Ce n’est pas comparable. Mais l’ivermectine n’est pas encore dans les recommandations et donc mon témoignage d’hier (au Sénat) était simple, nous savions que notre message n’était pas « nous avons trouvé le remède écoutez-nous et utilisez ce médicament ». Ce n’est pas notre message, notre message est que nous faisons appel à nos dirigeants et à nos agences de santé pour qu’ils revoient notre manuscrit, revoient les données de notre manuscrit, revoient les dizaines d’études que nous référençons dans notre manuscrit. Beaucoup de ces études, je dois l’admettre n’ont pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs. Mais c’est un processus qui est pour le temps de paix, ce n’est pas adapté à la guerre et nous sommes en guerre maintenant ! Et nous perdons ! Nous avons besoin que les gens réfléchissent plus rapidement pour examiner les données d’une manière qui n’est pas « traditionnelle ». Et je crois que nos leaders dans la santé ont cette capacité. Même en France, vos leaders dans la santé devraient revoir notre manuscrit. Je l’ai référencé, j’ai 90 références, pour chaque étude chaque résultat d’étude, qu’elle soit sur un serveur de pré-publication, dans un journal ou publiée sur le site Web Clinicaltrials.gov, tout est référencé, vous pouvez affecter une équipe de chercheurs et de médecins à l’analyse de ce manuscrit. Ce n’est pas une opinion. Ce n’est pas une opinion, ce sont des données scientifiques et la vérité scientifique.

Excellent ! Et vous avez publié votre manuscrit uniquement en anglais ? Ou l’avez-vous traduit dans une autre langue ?

C’est uniquement en anglais. Seulement en anglais. Si vous avez un auditeur qui souhaite le traduire en français, je l’inviterais à le faire.

Je pense que l’on peut faire cela, on a pu faire quelques traductions de cette nature et les publier sur FranceSoir. Tant que nous respectons le standard normal des médias… Mais Pierre, je pense que votre interview est comme votre audition d’hier, c’est très fort, vous semblez être très déterminé à aller au bout. Jusqu’à ce que les autorités écoutent vraiment. Qu’en est-il des médias ? Avez-vous eu une couverture médiatique ?

Alors, lors de mon témoignage, j’ai été immédiatement invité. Pendant mon témoignage, alors que j’étais en train de témoigner, je recevais des messages sur mon téléphone, comme quoi Fox News voulait m’interviewer. et si vous savez une chose à propos de Fox News, c’est essentiellement une machine de propagande pour la droite. Dans ce pays, ils propagent beaucoup de désinformation et ils représentent l’aile conservatrice de notre spectre politique, mais cette chaîne a une portée très importante et beaucoup de téléspectateurs. Et quand je suis sorti, parce que c’est important, et ce n’est pas politique, en fait je suis démocrate, je suis très libéral dans mes tendances politiques, mais je pense qu’il est important que cette connaissance soit diffusée et j’ai donc fait une interview avec eux et cela a été diffusé hier. Ils ont mis mon témoignage sur leur site web et c’est là que j’ai dit qu’il avait obtenu près d’un million de vues. Je fais cette interview avec vous maintenant, je pense que vous êtes l’un des premiers en dehors de Fox News à me joindre. Et donc je vous en suis reconnaissant. Mais je vous dirai aussi qu’un journaliste éminent en Ouganda veut me parler maintenant et donc je pense et j’espère….

Ce n’est pas que je veuille devenir célèbre ou quoi que ce soit, je suis juste fatigué, je me fiche de la célébrité, je veux juste que cette pandémie se termine, nous avons trouvé quelque chose qui fonctionne et je veux diffuser ces connaissances et j’espère donc qu’il y aura de plus en plus de médias viendront parler de notre groupe, viendront sur notre site Web et je serais heureux si mes collègues font les interviews. Je me fiche bien d’être célèbre, mais nous avons besoin de plus d’attention car cette connaissance doit être diffusée. Et je pense qu’il est préférable qu’elle soit diffusée par nos dirigeants et autorités de la santé qui examineraient les données et proposeraient leurs propres directives, car je ne peux rien faire qui soit même comparable à l’efficacité, par exemple, du NIH (National Institute of Health), s’il proposait une recommandation officielle. D’un seul coup, il changerait le visage de la pandémie, s’il le faisait. Et je veux vous rappeler que j’étais au Congrès et au Sénat, en mai, pour témoigner que les corticostéroïdes étaient essentiels dans le traitement de cette maladie. J’ai été attaqué par tout le monde en médecine, mon groupe et moi étions fermes dans nos recommandations, selon lesquelles les corticostéroïdes étaient essentiels. Vous savez ce qui s’est passé… Huit semaines plus tard Oxford a fait le grand essai (Recovery) sur les corticostéroïdes (dexamethasone) et devinez ce qu’ils ont compris ? Ils ont compris que les corticostéroïdes sauvaient des vies ! Et du jour au lendemain, le visage du traitement de cette maladie a changé, grace à un essai ! Ce manuscrit devrait pouvoir faire pareil. Nous avons plus de 3000 patients, c’est environ 3300 j’ai calculé, dans des essais contrôlés randomisés, provenant de centres et de pays du monde entier, montrant tous des bénéfices reproductibles et de grande importance de l’ivermectine, vous n’avez pas besoin de faire plus d’essais. Vous ne pouvez pas donner plus de placebo aux patients, vous les tueriez avec un placebo maintenant que nous avons ces données. Je ne suis pas contre les essais contrôlés par placebo, je suis juste contre les essais contrôlés par placebo excessifs et inutiles. Nous n’avons pas besoin d’en faire plus que cela. Tout ce que je peux dire c’est oui ! Il y a un temps pour la recherche, et ensuite vous devez interpréter votre recherche puis l’appliquer aux soins du patient. Et maintenant c’est le moment.

Bien, Pierre, je veux juste vous dire merci beaucoup d’avoir pris le temps de parler aux téléspectateurs de FranceSoir et aux lecteurs de FranceSoir. Et j’espère que les agences nationales et les dirigeants entendront aussi ce message. Et j’espère que nous contribuerons à faire passer ce message, nous avons déjà écrit quelques articles à ce sujet très tôt, et je veux juste vous dire merci pour vos efforts en tant que médecin, je peux voir que c’est assez émouvant et c’est intense, j’ai parlé à beaucoup de médecins et c’est pareil. Donc je ne peux que dire au nom des lecteurs et des patients merci beaucoup pour cela.

Merci pour ce que vous faites, il est tout aussi important que nous ayons la bonne information partout dans le monde, les médecins en ont besoin, les patients en ont besoin.

Merci. Merci beaucoup, passez une bonne journée.
Vous aussi. Ravi de vous avoir rencontré.


Manuscrit sur l’efficacité de l’ivermectine

Frontline Covid-19 Critical Care Alliance, site de l’organisation

Témoignage au Sénat

Ajout 20/12 : vidéo Fox News (+ de 5 millions de vues)

 

 

Auteur(s): FranceSoir

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