
Même causes, mêmes effets : nous sommes presque exactement dans la configuration des années 1930, avec des ultra-riches qui tentent d’installer un pouvoir fasciste pour consolider leurs privilèges par un régime autoritaire. A la différence près que dans les années 1930, un mouvement syndical et révolutionnaire, avec des journaux puissants, constituaient d’importants contre-pouvoirs. Aujourd’hui, la gauche est en lambeaux, les contre-pouvoirs quasiment réduits à néant. Il est urgent de faire front, de soutenir les médias indépendants, et de se fixer comme cible prioritaire ces médias néo-fascistes qui nous intoxiquent et nous mènent à la guerre.
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