Antisocial est une chanson du groupe de hard rock français Trust. Elle est parue sur le deuxième album de Trust, Répression, en 1980
Paroles de la chanson Antisocial par Trust
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d’avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d’avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Écraser des gens est devenu ton passe-temps.
En les éclaboussant, tu deviens gênant.
Dans ton désespoir, il reste un peu d’espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins bâtards.
Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Relève la gueule, je suis la, t’es pas seul
Ceux qui hier t’enviaient, aujourd’hui te jugeraient.Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces années de service.
En les éclaboussant, tu deviens gênant.
Dans ton désespoir, il reste un peu d’espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins bâtards.
Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Relève la gueule, je suis la, t’es pas seul
Ceux qui hier t’enviaient, aujourd’hui te jugeraient.Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces années de service.
Enfin le temps perdu qu’on ne rattrape plus.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d’avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang froid.
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