Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente.
Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr.
En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ».
L’ONU exige plus d’aide mais renonce à demander une trêve à Gaza
Cinq jours de négociations tendues ont permis d’éviter un nouveau veto des Etats-Unis opposés à « une suspension des hostilités ».
Article réservé aux abonnés
Après cinq jours de négociations tendues au sein des Nations unies pour éviter un nouveau veto américain, le Conseil de sécurité de l’ONU s’est entendu pour exiger, vendredi 22 décembre, l’acheminement « à grande échelle » de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza. Mais le texte, largement édulcoré au fil des discussions, n’appelle pas à un cessez-le-feu, condition que refusaient les Etats-Unis, en conformité avec les demandes de leur allié israélien.
Moscou a voulu au dernier moment que soit restaurée la mention d’une « suspension des hostilités » ; Washington s’y est opposé. Les deux pays se sont donc abstenus sur le texte adopté par les treize autres membres du Conseil. La résolution réclame des « mesures urgentes » pour permettre un accès humanitaire élargi et « créer les conditions à une cessation durable des hostilités ». « Nous savons que ce n’est pas un texte parfait, seul un cessez-le-feu mettra un terme aux souffrances [des Gazaouis]», a concédé l’ambassadrice des Emirats arabes unis, Lana Nusseibeh, coordinatrice des négociations.
Poster un Commentaire