LFP, DAZN, Bein, … Les fossoyeurs du foot

Cette année, la rentrée du football professionnel français est plus chaotique que jamais. Elle symbolise parfaitement les limites entre un sport populaire et sa récupération par des puissances financières. On ne compte plus les dossiers problématiques, qui sont symptomatiques d’une gestion calamiteuse, par des hommes bien plus intéressés par les petites magouilles politiques et leur intérêt personnel que par la santé du football .

En L1, on nous propose un diffuseur low-cost à un tarif scandaleux, que la plupart des supporter·ices ne peuvent tout simplement pas se permettre. Et les responsables de cette honte qui s’inquiètent du faible nombre d’abonné·es préfèrent jeter le blâme sur celleux qui regardent leurs matchs par des moyens détournés plutôt que de faire leur autocritique.

Le piratage n’a jamais nui au football professionnel. Au contraire..

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