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Ce dimanche à Athènes, de nombreux manifestants ont été arrêtés et blessés. Parmi eux, notre camarade et ami Marios Lolos (photographe des convois solidaires et auteur de l’affiche de L’Amour et la Révolution) a été intentionnellement blessé à la tête par la police grecque. Plusieurs de nos compagnons de lutte ont été arrêtés et roués de coups (aux Propylées, près d’Exarcheia et devant le parlement, en haut de la place Syntagma). Les valets du pouvoir ont fait preuve d’une peur panique face à l’arrivée d’une foule massive. Pendant ce temps, les médias occidentaux n’ont répété comme des perroquets que les chiffres ridicules et mensongers de la police grecque : 40.000 manifestants à Athènes et 80.000 dans toute la Grèce, alors que le nombre réel était autour de 250.000 à Athènes et plus de 500.000 dans toute la Grèce, soit 1/20e de la population du pays. Sur ordre, plusieurs centaines de policiers ont d’abord tenté d’éloigner les journalistes indépendants qui témoignent en images de ces événements, de la violence de la répression et, parfois, des scènes de torture au coin des rues. Comme d’autres vidéastes et photoreporters connus pour être proches du mouvement social, Marios était l’un des plus gênants, une fois de plus, avec son appareil photo et sa persévérance. Il a délibérément été visé à la tête par une grenade de désencerclement qui, heureusement, n’a explosé qu’après le rebond et pas contre sa tête. Sinon Marios serait mort.
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Depuis quelques mois, on ne compte plus les violences policières à Athènes et dans le reste de la Grèce. Mais la tension est encore montée d’un cran ce dimanche 26 janvier, alors que les manifestants deviennent toujours plus nombreux contre l’arbitraire, en particulier contre une justice bourgeoise douce avec riches et dure avec les pauvres, et contre le niveau colossal de corruption dans tous les rouages du pouvoir. L’exemple le plus choquant est l’absence de poursuites contre les responsables de la privatisation puis du saccage du rail qui ont directement conduit à la mort de plusieurs dizaines de voyageurs, dont beaucoup de jeunes, dans un accident de train, il y a bientôt deux ans dans la vallée du Tempé (Tempi en grec), entre Larissa et le mont Olympe. Une vallée qu’on surnomme aussi Lykostomo (« la gueule du loup ») depuis l’ère byzantine.
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« La Justice ne sera pas faite par le pouvoir criminel. La Justice sera faite par le peuple. »
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Depuis la privatisation, les trains sont très peu entretenus, sur des rails en très mauvais état et surtout sans système de sécurité moderne du fait de l’obsession du profit. Il y a bientôt deux ans, l’un de ces trains de voyageurs en perdition a percuté une cargaison de produits chimiques et explosifs qui se trouvait sur la même voie depuis 19 minutes sans que personne ne s’en rende compte. La révolte est d’autant plus grande qu’un enregistrement sonore a récemment été rendu public par la mère d’une des victimes. On y entend sa fille témoigner de la situation, puis suffoquer, avant de conclure en agonisant : « je n’ai pas d’oxygène. »
Ces derniers jours, cette phrase est devenu le nouveau slogan du mouvement social qui résume l’étouffement de la société toute entière, à tous les niveaux : « Den echo oxygono » (je n’ai pas d’oxygène). Ce slogan est maintenant repris dans toutes les régions de la Grèce, y compris dans des tout petits villages révoltés, eux aussi, et pas seulement dans des grandes villes réputées pour l’intensité de leurs manifestations et de leurs émeutes. Nous n’avons plus d’oxygène dans ce système économique étouffant qui creuse les inégalités. Nous n’avons plus d’oxygène dans une société toujours plus autoritaire et répressive. Nous n’avons plus d’oxygène dans un monde qui s’autodétruit chaque jour en saccageant la terre et la mer qui agonisent, elles aussi.
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À Athènes plus qu’ailleurs, sur ordre des responsables politiques effrayés, la police a fait usage de beaucoup de violence pour tenter de disperser la manifestation gigantesque qui a envahi tout le centre-ville, provoquant une importante indignation. Les arrestations en masse ont également beaucoup choqué, ainsi que de nouveaux cas de torture aux coins de plusieurs rues. La colère ne cesse de monter contre l’autoritarisme du pouvoir et de sa police. De plus, jeter massivement du gaz lacrymogène sur une manifestation qui scande « Je n’ai plus d’oxygène, j’étouffe », c’est jeter de l’huile sur le feu, surtout quand, parmi les nombreuses personnes gazées se trouvent des dizaines d’enfants dans des poussettes et plusieurs familles des victimes.
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Forte répression ce dimanche en Grèce
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Après avoir essayé d’enterrer l’affaire et d’empêcher les poursuites contre les hauts-responsables, le gouvernement grec panique maintenant de plus en plus face au mécontentement généralisé de la population. Sa volonté de nous empêcher de filmer ou photographier certaines choses est symptomatique de l’évolution du régime, à l’instar de ce qui s’est passé pour Marios et pour beaucoup d’autres journalistes indépendants avant lui (par exemple, plusieurs des créateurs du film Nous n’avons pas peur des ruines se sont retrouvés à l’hôpital, blessés suite à des charges latérales avec l’objectif de provoquer des mauvaises chutes, alors que nous étions en train de filmer sans comprendre ce qui nous arrivait, comme le confirment des dizaines de témoins). La pseudo liberté de la presse continue de fondre comme neige au soleil, mais nous ne baissons pas les bras, bien au contraire, avec toujours plus de soutien dans une population qui semble se réveiller d’un sommeil forcé, chaque jour plus nombreuse à prendre conscience de la situation globale et à protester.
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En Grèce comme ailleurs, beaucoup de monde comprend de mieux en mieux que ce système politique est à bout de souffle, qu’il n’est pas réellement démocratique mais profondément autoritaire et qu’il est capable de bien pire dès qu’il se sent en danger. Bien sûr, ni en Grèce ni en France, nous ne sommes encore au degré le plus violent, celui d’une dictature qui élimine physiquement ses opposants. Mais la montée du fascisme est bien là, visible, palpable, mystificatrice et décidée à frapper toujours plus fort. Ce système économique et politique ne cesse de creuser les inégalités, partout dans le monde, et de nous conduire dans l’impasse. Il n’arrive plus à bercer d’illusions la masse des exploités et a donc décidé d’utiliser massivement son joker, une fois de plus : en montrant du doigt des boucs-émissaires parmi les plus précaires et en lâchant ses partisans les plus enragés contre toutes celles et ceux qui menacent ses intérêts.
L’enjeu actuel est donc, plus que jamais, la prise de conscience de ce qui se déroule sous nos yeux : un durcissement du capitalisme et de la société autoritaire qui franchit de nouveaux paliers, d’année en année ; le conditionnement de ses forces répressives, principales et auxiliaires ; la transformation du sourire carnassier des puissants en une grimace inquiète et jusqu’au boutiste.
Le masque est en train de tomber. Et sous ce masque, il n’y a jamais eu autre chose que le mépris et le plaisir de dominer. Derrière les oripeaux de la société de consommation et du bourrage de crâne télévisé sous le contrôle des milliardaires, il y a, en réalité, un refus absolu de nous laisser prendre nos vies en mains. Derrière les discours polis et démagogues, il y a le visage de la mort. Sous le masque de nos principaux dirigeants, il y a le fascisme. Voilà pourquoi nous manquons d’oxygène dans cette société absurde et mortifère. Voilà pourquoi nous sommes de plus à plus nombreux à vouloir sortir de la préhistoire politique de l’humanité.
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Ce n’était pas un malheur arrivé par hasard, c’était un crime !
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UN NOUVEAU SLOGAN QUI VA PLUS LOIN
QUE SON SENS PREMIER
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La Grèce a été le berceau du germe de la démocratie. Une démocratie très imparfaite, en particulier parce qu’elle était réservée à 10% de la population athénienne : uniquement les hommes libres payant des impots. Mais, à la différence de sa pâle copie contemporaine, c’était une démocratie directe. Et y participer activement était un devoir, une nécessité et même un plaisir parfois. À l’inverse, parler aujourd’hui de démocratie représentative est un oxymore : c’est une association de deux mots qui n’ont rien à voir et se contredisent profondément. Il n’y a de vraie démocratie que directe, en gérant nos affaires nous-mêmes.
Si en Europe occidentale, vous manquez également d’oxygène, si vous étouffez dans cette société liberticide et inégalitaire, si vous voulez essayer de changer le cours des choses, c’est le moment de le dire en reprenant notre slogan. Un même slogan par-delà les frontières qui prétendent nous diviser. Un slogan pour dire stop. Un slogan pour appeler à un autre futur que celui qu’on veut nous imposer en ce moment.
Parce qu’il y a des fleurs dans les ruines du vieux monde et parce que nous portons ensemble un monde nouveau dans nos cœurs, reprenons ensemble ce slogan : « Nous n’avons pas d’oxygène. »
Solidarité avec Marios Lolos et toutes les autres victimes des puissants qui nous étouffent et que nous finirons, tôt ou tard, par renverser.
Maud et Yannis Youlountas avec le collectif filmique et plusieurs intervenants du film Nous n’avons pas peur des ruines
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DES NOUVELLES DU
PROCHAIN CONVOI SOLIDAIRE
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Le prochain convoi solidaire vers la Grèce partira début avril. Si vous avez envie de venir avec votre fourgon ou véhicule utilitaire, pensez à vous présenter à : solidarite@anepos.net
Attention : les frais de la traversée entre Ancona et Patras (ou Igoumenitsa pour celles et ceux qui vont livrer le nord de la Grèce) ont encore augmenté. Nous vous conseillons de faire des estimations avant de vous engager (par exemple, jetez un coup d’oeil sur le budget calculé par mappy itinéraire jusqu’à Ancona, ainsi que le budget du ferry selon la taille de votre véhicule, mais n’allez pas jusqu’à réserver car nous prendrons ensemble un même ferry et pas n’importe lequel).
Nous recherchons également des personnes qui auront l’occasion d’aller à Martigues en provenance de divers coins de France et de Belgique dans les prochaines semaines. Le but est de nous aider à la mise en place des points collecte qui se préparent actuellement. La liste complète des points collecte sera donnée prochainement. Si vous pouvez participer, faites nous signe (sans oublier de nous préciser votre téléphone) : solidarite@anepos.net
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SUPPLÉMENTS À LA LISTE DES BESOINS
POUR LE CONVOI SOLIDAIRE
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La liste des besoins est disponible ici :
http://paspeurdesruines.net/spip.php?rubrique38
Les principaux lieux et collectifs déjà aidés sont là :
http://paspeurdesruines.net/spip.php?rubrique12
On vient de nous transmettre des besoins supplémentaires :
1- Les pompiers anarchistes de Rouvikonas sont à la recherche de Biafine, de Riopane, de spray spécial contre les brûlures, de sérum physiologique pour les yeux, de Doliprane et d’extincteurs (même petits).
2- Plusieurs cuisines sociales gratuites sont à la recherche de pâtes, riz et légumineuses, mais aussi d’épices et, éventuellement, de noix et d’autres fruits secs.
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L’un des très nombreux sans abri dans les rues d’Athènes, le 2 janvier 2025, durant une maraude à laquelle j’ai participé, avant de rentrer en France pour la tournée
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3- Plusieurs collectifs sont à la recherche de téléphones mobiles, même des vieux modèles, mais sans oublier le chargeur 😉
4- Nos bibliothèques sociales multilingues en Grèce recherchent actuellement des livres en français, mais aussi anglais, arabe, allemand et perse. Nous remercions tous les auteurs et autrices francophones qui nous ont déjà donné des ouvrages, ainsi que plusieurs éditeurs, notamment les Éditions Libertaires. Nous remercions particulièrement nos amis du Club du Livre Libertaire qui ont lancé cette idée dès le début de la tournée du film pour compléter les rayons des bibliothèques sociales multilingues en Grèce, mais aussi pour nous donner plus de moyens d’agir et pour amplifier notre travail d’éducation populaire. Un grand merci à toutes et tous. Les livres et autres dons peuvent aussi être directement envoyés à l’adresse : Anepos – Action Solidarité Grèce – 6 allée Hernando 13500 Martigues (si vous avez des questions ou hésitations sur quelque chose, contactez-nous au 0624066798 ou 0618268495, en cas d’absence, laissez un message sur le répondeur, nous vous rappellerons).
5- Les couches pour bébé les plus nécessaires en ce moment sont les n°3, 4 et 5. Le lait infantile qui manque le plus est le 2ème âge (surtout 6 mois à 18 mois).
6- La section féministe de Rouvikonas remercie les personnes et collectifs qui ont participé aux livraisons passées de serviettes féminines, à plusieurs reprises. Des serviettes féminines qui ont ensuite été distribuées par la section féministe de Rouvikonas dans Athènes, dans le cadre de la propagation de nos idées parmi les précaires. D’autres livraisons seraient les bienvenues, à l’occasion du prochain convoi solidaire.
7- Plusieurs squats et lieux autogérés recherchent aussi des machines à laver, cuisinières électriques, micro-ondes et frigos. Mais contrairement aux petits dons, le fourgon principal de la tournée du film ne peut pas les ramasser lors des projections-débats. C’est aux membres du convoi solidaire qui préparent leur départ en Grèce de ramasser autour d’eux, dans leur zone, le matériel électroménager encombrant. Idem pour les vélos (plutôt des tailles adultes si possible). Merci de nous éviter d’avoir à faire des réparations sur ces appareils et véhicules juste avant le départ, car nous avons beaucoup d’autres choses à faire (préparation et spécialisation des fourgons pour livrer ici et là, mini formation des nouveaux par les anciens, organisation d’événements, concerts et repas, pour aider à collecter des fonds, etc.). L’idéal est de nous transmettre des choses déjà prêtes à être livrées. Merci d’avance.
8- Par le passé, on nous a déjà transmis de la peinture. Ne pas hésitez à nouveau, si vous en avez sous la main, bien sûr (rouge et noire de préférence). Mais surtout n’en achetez pas : d’une part c’est lourd et d’autre part, mieux vaut permettre aux collectifs d’acheter sur place ce dont ils ont le plus besoin. Il est aussi arrivé qu’on nous demande de faire passer une bouteille de vin ou de bière à un personnage du film : pas de souci également… avec modération 😉
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PROPAGER LE FILM ET SES IDÉES
AU-DELÀ DES FRONTIÈRES
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Donnez les moyens au film Nous n’avons pas peur des ruines d’être présenté hors de France et de Grèce :
https://www.gofundme.com/f/donnez-les-moyens-au-film-detre-presente-ailleurs-en-europe
Texte de l’appel :
« Les traductions du film se terminent ou sont déjà terminés dans une douzaine de langues (un immense merci aux équipes de traductions). D’autres suivront. Les demandes de projection du film en présence du réalisateur, hors de France et de Grèce, se multiplient par dizaines pour les semaines et les mois à venir. Nous en recevons encore plus que pour les trois films précédents, avec presque toujours la demande que le film soit accompagné par un intervenant grec et/ou par le réalisateur Yannis Youlountas.
Cependant, ces déplacements sont couteux, beaucoup plus qu’à l’intérieur de la France et de la Grèce, et la plupart des lieux qui nous sollicitent ont des moyens limités : centres sociaux autogérés, cinémas associatifs, squats, lieux de lutte, zones à défendre, centres culturels autogérés, collectifs solidaires… Beaucoup ont prévu de participer aux frais de déplacement, bien sûr, mais très peu sont ceux qui peuvent rassembler le montant nécessaire à chaque fois.
Même les voyages en train coutent très cher en Europe. Par exemple, les 4 déplacements en train : de Macon à Amsterdam, puis Amsterdam à Marburg, puis Marburg à Louvain, puis Louvain à Macon, ont coûté 1185 euros pour deux intervenants et étaient à partager entre trois rendez-vous, dont deux lieux autogérés aux faibles moyens. Résultat : nous avons reçus 680 euros au total pour cela durant les trois rendez-vous, soit un peu plus de la moitié des frais de déplacement. Sur cette mini tournée en Europe, nous sommes donc en déficit de 500 euros. Mais ces déplacements étaient nécessaires pour aider à lancer le film dans ces pays (première au Pays-Bas, première en Allemagne et première en Belgique flamande). Et cette mini tournée est loin d’être le plus couteux des projets qu’on nous demande à travers le continent !
Voilà pourquoi nous sollicitons exceptionnellement votre soutien pour permettre au film Nous n’avons pas peur des ruines d’être présenté dans un maximum d’endroits, hors de France et de Grèce, dans les prochains mois, y compris des endroits modestes, squats et lieux autogérés, qui n’ont pas beaucoup de moyens.
Si nous pouvions au moins arriver à la moitié de l’objectif (4000 euros sur 8000), cela nous permettrait de répondre favorablement à des demandes essentielles pour la diffusion du film et la propagation de ses idées.
Nous nous adressons uniquement à celles et ceux qui peuvent nous aider à cela. Si vous êtes dans une situation précaire, ne vous mettez pas plus en danger financièrement. Faites circuler l’info. C’est aussi une façon de nous aider.
Merci d’avance,
Maud et Yannis Youlountas avec le collectif filmique et plusieurs intervenants du film »
Si vous ne souhaitez pas utiliser la plateforme gofundme pour soutenir cette caisse spécifique, vous pouvez aussi faire un virement à Anepos en précisant en objet « caisse déplacements internationaux »
IBAN de ANEPOS : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU
Vous pouvez aussi envoyer un chèque à l’ordre de ANEPOS à l’adresse :
ANEPOS – Déplacements internationaux – 6 allée Hernando – 13500 Martigues (France)
La somme rassemblée sera uniquement pour cette caisse et pour cet objectif.
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Première du film en Allemagne avec la participation de Pia Klemp, devant un public ravi
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DES NOUVELLES DE LA TOURNÉE DU FILM
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De retour en France, nous serons ce mercredi 29 janvier à Poligny, puis jeudi 30 à Bourg-en-Bresse, vendredi 31 à Dompierre, samedi 1er février à Nevers, dimanche 2 à Craponne-sur-Arzon le matin et à St-Paul-le-Jeune le soir, puis lundi 3 à Buis dans la Drôme, et enfin La Roya, Nice, Cannes, Lautrec, Cazères et Najac. Ensuite, nous essaierons de faire d’autres voyages en Europe pour honorer des invitations et propager le film et ses idées. Et, bien sûr, d’autres projections en Grèce.
MERCREDI 29 JANVIER 2025 À POLIGNY (39)
20:00 : accueil, infokiosque
20h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Ciné Comté 19 Rue De Gaulle
JEUDI 30 JANVIER 2025 À BOURG-EN-BRESSE (71)
18h30 : accueil, infokiosque
19h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Maison de la Culture et de la Citoyenneté 4 allée des Brotteaux
Org : UCL 01 avec le soutien de l’ICEM 01, d’ATTAC et de Solidarité Migrants
SAMEDI 1er FÉVRIER 2025 À NEVERS (58)
16h30 : accueil du public, buvette, infokiosque
17h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
20h00 : soupe et buvette
Centre Social du Banlay, Espace Martin Luther King, rue Georges Guynemer
DIMANCHE 2 FÉVRIER 2025 À CRAPONNE-SUR-ARZON (43)
10h30 : accueil, infokiosque
11h00 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Cinéma La Grenette
DIMANCHE 2 FÉVRIER 2025 À ST-PAUL-LE-JEUNE (07)
À partir de 18h00 : accueil, infokiosque, surprises
20h00 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Salle des fêtes de St-Paul-Le-Jeune
Org : Confédération paysanne 30, CNT 07, CNT 30, Terres vivantes en Cevennes, Exploité-es/Énervé-es, Contes éclatés, Comité de soutien nîmois aux Soulèvements de la Terre
LUNDI 3 FÉVRIER 2025 À BUIS-LES-BARONNIES (26)
20h00 : accueil, infokiosque
20h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Cinéma Le reg’Art, Place du 19 mars 1962
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MERCREDI 5 FÉVRIER 2025 À SAORGE-EN-ROYA (06)
18h30 : accueil, infokiosque
19h00 : repas solidaire à prix libre en soutien aux collectifs de lutte grecs
Réservation conseillée au : 07 71 18 22 03 / ou par mail à : roya-citoyenne@riseup.net
20h00 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Salle des fêtes de Saorge, avenue Daveo
JEUDI 6 FÉVRIER 2025 À BEAULIEU-SUR-MER, À CÔTÉ DE NICE (06)
18h30 : accueil, infokiosque
19h00 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Cinéma de Beaulieu, avenue Albert 1er
VENDREDI 7 FÉVRIER 2025 À CANNES (06)
20h00 : accueil, infokiosque
20h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Cinéma Olympia 5 Rue de la Pompe
Org : ATTAC 06 avec le soutien de l’ICEM
SAMEDI 8 FÉVRIER 2025 À LAUTREC (81)
20h30 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Café Plum 12 Rue de Lengouzy, 81440 Lautrec
DIMANCHE 9 FÉVRIER 2025 À CAZÈRES (31)
13h30 : accueil, infokiosque
14h00 : projection-débat du film en présence du réalisateur
Maison Garonne, 2 rue du quai Notre-Dame
MARDI 11 FÉVRIER 2025 À NAJAC (12)
projection-débat du film en présence du réalisateur
et hommage à notre ami Jean-Henri Meunier
Détails bientôt sur :
http://paspeurdesruines.net/spip.php?rubrique15
Quand nos projections sont dans des cinémas, les entrées ne sont pas à prix libre, ce qui peut être un obstacle pour les plus précaires. Si c’est votre cas, n’hésitez à nous faire signe via maud@paspeurdesruines.net
Une invitation à votre nom vous attendra discrètement à l’entrée du cinéma.
Solidairement,
Yannis Youlountas
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Ah ! Si nous comprenions ce que veulent nous dire les oiseaux 😉
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