Valentin Doyen avec L.B
La situation a été tendue dans la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence vendredi soir. À la suite de la validation de la réforme des retraites par le Conseil Constitutionnel, une manifestation s’est tenue à Forcalquier, où près de 150 manifestants, dont le député Nupes Léo Walter, se sont rassemblés dans le calme dès 18h.
C’est vers 20 heures, lorsque la majorité des manifestants pacifiques rangés derrière le parlementaire sont partis, que le ton a changé.
La sous-préfecture a été taguée et les caméras de vidéo-surveillances recouvertes d’autocollants. Un individu, clairement identifié, a crevé deux pneus d’un véhicule de la gendarmerie nationale.
Incendie sur la voie publique
« La ville condamne ces actes avec la plus grande fermeté et dénonce l’attitude irresponsable des auteurs. En raison de ces agissements, c’est une nouvelle fois du personnel de la collectivité qui a été mobilisé et de l’argent public qui sera engagé pour remettre en état la voirie », a réagi le maire David Gehant.
Plusieurs plaintes ont été déposées. Une enquête est en cours, menée par les gendarmes de la compagnie de Forcalquier.
Cet article n’est pas celui d’un journaliste : aucun contrôle des sources ! Il est également inconsistant.
De plus, transparaît dans ces quelques lignes une nuée de ressentiments à l’encontre du « Café des Libertés » et une collusion odieuse avec les pouvoirs.
Il fallait être présent pour constater que c’est un « nouvel arrivant » à la gendarmerie de Forcalquier qui a mis, comme on dit, le « feu aux poudres ». Tout compte fait ce Valentin Doyen est un « agité du bocal ». Qu’il se rassure : ça se soigne !