EN IMAGES – Dans le pays, de nombreux graffitis relaient la colère des manifestants qui depuis plus de 10 jours réclament le changement de la classe politique.
«Le peuple veut la chute du régime!» Ce slogan, repris du Printemps arabe de 2011, reste une des formules phares de la révolte que connaît le Liban depuis le 17 octobre. Elle a été déclenchée ce jour-là par l’annonce surprise d’une taxe sur les appels via l’application WhatsApp. Elle a été vite annulée mais la colère ne s’est pas calmée contre la classe dirigeante, jugée incompétente et corrompue. Depuis des manifestations ont lieu tous les jours et à Beyrouth ou ailleurs, les murs sont devenus le relais des colères du peuple. Comme souvent dans des contestations populaires, de nombreux graffitis sont ainsi apparus.
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