Bas les masques met en scène l’enterrement de la démocratie

  • L’effigie de Jean Castex enterre la démocratie devant sa mairie. Les enfants masqués ont suivi l’enterrement de la démocratie hier matin dans les rues de la ville. Photos A. C.

    L’effigie des enfants masqués suivent l’enterrement de la démocratie-Photo : Angie Co-
    L’effigie des enfants masqués suivent l’enterrement de la démocratie-Photo : Angie Co-

  • L’effigie de Castex enterre la démocratie devant sa mairie-Photo : Angie Co-
    L’effigie de Castex enterre la démocratie devant sa mairie-Photo : Angie Co-
  • La manifestation démarre, à la tête les effigie de Macron et Castex encadrant la démocratie morte-Photo : Angie Co-
    La manifestation démarre, à la tête les effigie de Macron et Castex encadrant la démocratie morte-Photo : Angie Co-
Codalet est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales
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Hier, plusieurs revendications ont mené les quelque 200 manifestants vêtus de noir jusqu’aux portes de la mairie.

Pour le 6e samedi de contestation, le collectif Bas les masques 66 et la gendarmerie comptaient environ 200 manifestants. Ils étaient rassemblés hier contre le port du masque par les enfants, mais aussi pour la liberté et les droits fondamentaux. Ils ont défilé sur l’avenue Louis-Prats et, après dispersion, il ne restait plus que 50 personnes pour la prise de paroles devant la mairie, au château Pams. Si la manifestation semble un peu s’essouffler, les participants restent néanmoins très motivés.

Les intervenants se sont succédé au micro pendant une minute pour s’exprimer sur leurs revendications. Parmi eux, des représentants de l’Observatoire pour le respect des droits et libertés 66 et de la Ligue des droits de l’homme.

Didier Doré, formateur juridique retraité dans les centres médico-sociaux s’est exprimé en clamant « El pueblo unido jamàs serà vencido » (le peuple uni ne sera jamais vaincu), repris par la foule. Il lui tenait à cœur d’évoquer des valeurs telles que la fraternité devant la répression puisqu’il s’intéresse au développement humain et à la jonction socio-spirituel, sans être religieux, mais au travers de la démocratie. Aider son prochain, être unis, s’exprimer dans un élan de fraternité autour d’une même cause. Voilà qui laisse à réfléchir.

Le rendez-vous est d’ores et déjà pris pour le samedi 12 décembre.

Conesa Angélique

 

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